Manquent juste BHL, Moix et Colin Powell à l’appel.
Puis les groupies énamourées, style « Johnny fais moi mal » cœurs alanguis, d’entonner en tjrs chœur
« il a payé sa dette à la société »
ah bon, ça se paye cela aussi ?
après tout s’il a les fonds !
(mieux vaudrait dans ce cas recruter un tueur à gages, plus efficace et moins onéreux, juste un avis perso)
et en rajoutent, « elle était droguée ce soir là, elle était drôlement droguée ce soir là,
trop, en fait, elle l’a provoqué. »
primo OK, c’est vrai est-ce pr autant une raison suffisante raison suffisante de tomber ds le piège,
2nd, ces réactions, on dirait DCB, après un référendum qui aurait mal tourné « il faut revôôôôôtééééé, il faut revôôôôôtééééé"
ou bien une mauvaise rencontre sur un plateau tv avec Eric Coquerel.
tertio, les femmes sont tjrs responsables des avanies qui leurs sont faites,
les hommes des victimes.
Laissons « Le » combler ses fans lors de concerts prisés et privés non subventionnés (encore que le diable se loge entre les lignes de partition et celles des budgets publics)
au moins sauront ns ou se regroupent les nazes,
Nazes, sans connotation péjorative,
il en faut et se révèlent supportables a petite dose individuelle et homéo,
ns en avons ts ds notre entourage immédiat.
Un autre bénéfice secondaire tient ds le repli tactique des msm (Point, Marianne, Obs, Monde et tutti frotti) une façon de présenter diplomatiquement une déroute.
le soufflé est tombé,
le souvenir cuisant du syndrome « gauche plurielle façon Jospin » avec la révolte féministe non programmée a permis la réduction de l’œdème médiatique et de se dégonfler aussi vite qu’il est apparu.