@ddacoudre "ce sont donc les facteurs environnementaux au gré des caractères qui se
sont construits qui viendront fixer les choix de chaque individu«
Ils ne viennent pas fixer les choix de chaque individu, mais influencent uniquement son mode de vie. L’homme conserve cependant son libre arbitre.
Affirmer le contraire, c’est reprendre les vieux poncifs du totalitarisme socialiste de Rousseau, où l’état doit contrôler la vie du citoyen, une machine malléable et corvéable à souhait, de sa naissance à sa mort (le »contrôle interne« comme vous le nommez) pour en faire une machine parfaite, qui ne peut commettre le mal.
Ce qui est évidemment faux et stupide, des frères ayant été élevés ensemble dans la même société et ayant reçu la même éducation, l’un peut devenir un homme travailleur, honnête et droit, l’autre peut devenir le pire criminel qui soit.
Tout homme a des passions, peut connaître l’amour, la joie, la tendresse, l’altruisme, mais aussi la colère, la jalousie, la haine, l’égoïsme car il est fait de chair et de sang (le fameux »péché originel" de la Bible).
Cette essence de la nature humaine, liée à sa liberté de penser, de s’émerveiller, de s’ennuyer ou de détester, échappe à toute forme de dictature socialiste.
Depuis que l’espèce humaine existe, et quel que soit le type d’organisation de sociétés dans lesquelles elle évolue (tribale, république, empire, monarchie, dictatoriale, parlementarisme, féodale, théocratique, démocratique, etc..) il y a eu des guerres, des génocides, des meurtres.
C’est le propre de l’homme, cela fait partie de sa nature. C’est pour cela que TOUS les type de sociétés existants ont des mécanismes de répression pour éliminer les récalcitrants et parasites (peine de mort, bannissement, punition, emprisonnement, etc...) afin de maintenir la société pérenne.