Quelques remarques, en vrac.
1) Dans le domaine scientifique, un consensus, réel ou imaginaire,
ne veut pas dire vérité. Les plus grandes avancées scientifiques ont toujours
été faites en opposition au consensus en vigueur et l’ont fait exploser.
2) Chaque fois qu’une science est devenue officielle, il s’est
avéré par la suite qu’il s’agissait de pseudo-science. La science du GIEC/IPCC
est officielle, donc c’est de la pseudo-science.
3) Le CO2 n’est PAS un polluant, bien au contraire. Sans lui, pas
de photosynthèse, pas d’oxygène, pas de vie telle que nous la connaissons. Le
diaboliser est absurde.
4) Lors des 600 derniers millions d’années, le taux moyen de CO2 a
été de 2000 ppm. Les modèles numériques en prohétiseraient un réchauffement
catastrophique et irréversible, qui ne s’est pas produit dans le monde
réel.
5) Nos 400+ ppm actuels sont faibles. Mais, grâce à leur
augmentation de 280 ppm à 400+ppm, la planète reverdit et les rendements des
récoltes sont meilleurs, ce qui contribue à réduire la faim dans le monde. Il
est donc souhaitable que le taux global de CO2 continue à augmenter.
6) IL n’y a aucune preuve scientifique que le CO2 ait une
action mesurable sur la température. Comme les modèles numériques, qui
intègrent les thèses du GIEC/IPCC continuent à diverger des observations, ils n’ont
aucune crédibilité, tout comme les thèses du GIEC/IPCC qui en sont le socle.
7) Nos émissions de CO2 ne sont que de 4-6% du total des émissions
(AR5, page 471, figure 6.1), et le taux de CO2 anthropique dans l’air n’est que
de 6% (analyse isotopique, delta C13).