Le système capitaliste est dans son fondement une cavalerie, ou plus connu sous le nom de pyramide de Ponzy.
Aucune politique économique à l’intérieur d’un tel système peut arreter le mécanisme de cavalerie, c’est IMPOSSIBLE, mais uniquement le ralentir.
La raison est élémentaire, mais fait l’objet d’un déni absolu où meme Marx ne l’a pas vue, bien que toute son analyse tourne autour.
La raison repose entièrement sur le principe de l’impot prélevé sur l’activité économique par les propriétaires de l’économie.
Pour faire illusion, jusqu’à aujourd’hui, les tenants du système procédaient à une sorte de reboot périodique via les guerres, sauf qu’aujourd’hui les armes ont atteint un tel degré de destruction que meme les tenants du système ont peur du résultat. Ce qui explique le statut quo actuel.
Dans ce jeu de « je te tiens, tu me tiens par la barbichette », personne ne veut rire le premier et si le feu nucléaire peut etre évité, l’effondrement du système financier provoquera un tel séisme politique à l’intérieur de chaque pays qu’aucun gouvernement ne veut etre désigné à la vindicte populaire et donc, toute la stratégie actuelle consiste à provoquer l’autre pour qu’il soit désigné comme le coupable. Toujours selon le principe du bouc émissaire.
C’est élémentaire, mais le conditionnement des cogito est tel, à commencer par ceux qui sont censés etres les spécialistes de l’économie, que personne ne veut ou peut le voir.
Autrement dit, tant que le système économique reposera sur le principe de l’impot privé (qui nécessite la propriété et est sa seule raison d’être) que sont les profits des actionnaires, les intérets bancaires et les loyers sur l’immobilier, rien, ABSOLUMENT RIEN, ne pourra changer. C’EST PHYSIQUEMENT, MATHEMATIQUEMENT IMPOSSIBLE
La monnaie n’a pas pour vocation à etre thésaurisé, sauf pour permettre la prédation humaine du temps de vie des etres, sa valeur ne peut etre que fondante et selon un processus très strict parfaitement maitrisable mais que la majorité des gens sont conditionnés à ne pas vouloir.
La solution à toutes les crise repose sur un principe élémentaire d’équilibre en lieu et place de croissance économique et est évidente en elle même, sauf qu’elle fait face au déni humain, un interdit de penser où c’est chacun qui s’impose la chape de plomb.