« C’est la solidarité qui devrait primer et non l’envie d’écraser l’autre. »
Belle phrase d’inversion des valeurs faussement humaniste, bien de gauche qui stigmatise la concurrence, et qui valorise l’irresponsabilité,le totalitarisme et la servitude et valorise la rente face au risque et l’envie de se dépasser...
Bien évidemment la concurrence n’est pas l’envie d’écraser l’autre mais au contraire de le satisfaire, et n’est pas un jeu à somme nulle.
Elle est la liberté individuelle de choix, le libre arbitre, c’est ce qui fait faire des efforts pour rechercher le meilleur pour des gens qu’on ne connait pas. Elle est profondément humaniste, elle sanctionne dans la paix l’absence de solidarité qui répond à la qualité et les besoins réels des gens.
Le boulanger se lève a 5h du mat pour faire le pain au meilleur rapport qualité prix pour que chacun puisse se nourrir. Bien plus solidaire que n’importe quelle fausse solidarité soi-disant humaniste.
La concurrence n’est pas le contraire de la solidarité ou la fraternité. Comme les enfermés aiment a faire croire. L’un n’empêche pas l’autre.
La « solidarité », c’est volontaire.
La solidarité de gauche c’est avec l’argent des autres et la recherche de vie d’une rente a charge des autres et l’irresponsabilité. L’absence de libre arbitre, l’absence de choix, la mise en dépendance, en soumission, c’est le grillage invisible d’un poulailler. La recherche de rente a charge des autres.