@colibri
Bien sûr les pauvres affichent souvent un certain mépris pour les riches (avec les précautions quant à l’emploi des mots riches et pauvres, montrent effectivement un grand manichéisme) MAIS les riches forment la classe dominante et les conséquences de leur mépris a bien plus de conséquences, d’autant plus que c’est la seule classe dominante maintenant que les savoirs et les sacrés ont été évacués.
Travailler, dans la plupart des cas, c’est accepter l’ordre social tel qu’il est. Si les gens trouvent cet ordre non satisfaisant ils peuvent détester et l’ordre social et le travail. Je suis conscient qu’il n’y a pas d’autre issue que l’intégration par le travail pour être heureux.
C’est vrai que l’on a tendance d’accuser autrui de ses échecs mais actuellement c’est la classe dominante qui décide de pratiquement tout depuis des dizaines d’années qui accuse les dominés de ne pas être compétitifs.
Non, la classe dominante et leur progéniture n’assume aucun risque, au pire ils risquent de perdre leur résidence secondaire, un pauvre lui se retrouve à la rue.