• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Hervé Hum

sur Essai sur la société des citoyens responsables - de la relation entre coopération et compétition


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Hervé Hum Hervé Hum 13 mai 2018 09:15

@Jean Roque

Je comprend pourquoi vous n’êtes pas capable de répondre par vous même, mais uniquement par des citations des autres.

En effet, écrire « la gouvernasse mondiale et l’Humanité Universelle bobo est un oxymore » esgt un pléonasme et non pas un oxymore. Si vous n’êtes pas capable d’aligner une phrase sans écrire une bêtise, c’est sûr, ne recopiez que par citation.

Apprenez donc à comprendre le sens des mots que vous utilisez. Vous avez des yeux, mais à priori pas de cerveau (Voltaire) !

sinon, tout ce que disent vos penseurs que vous recopiez tel un perroquet, ne font que le culte de la soumission, de la souffrance et de l’aliénation à une classe prédatrice qui semble vouloir gouverner le monde, alors qu’elle le gouverne depuis longtemps, parce qu’elle à toujours gouvernés les nations. Qui veulent certes une gouvernance économique mondiale, mais font tout pour maintenir les populaces qui constituent les nations en compétition. Leur gouvernance mondiale, c’est l’union des prédateurs et la division des proies, c’est à dire, tous les autres.

La frontière gardé par des armées, c’est l’état d’urgence permanent, la crainte et la peur permanente de l’autre et qui s’étend jusqu’au seuil de votre porte. C’est la nécessité de cette élite prédatrice pour mener à l’abattoir la populace, avec son soutient.

S’il faut avoir une porte à ouvrir et un seuil pour se tenir pour accueillir son hôte, on ne le reçoit pas avec un fusil et on ne menace pas d’aller chez lui pour y mettre le feu. Et pour cela, il faut instaurer la confiance. De même, si vous polluez chez vous ou lui chez lui, la pollution ne connaît pas de frontière. De la même sorte, s’il vous manque quelque chose pour vivre, vous aurez à aller frapper à sa porte et lui proposer soit d’échanger, soit d’essayer de le voler. Mais si vous n’établissez pas de règles communes auxquelles les deux parties sont tenues de se plier, alors, retour à la case départ, c’est à dire, que vous recevrez toujours votre « hôte » avec le fusil et la paranoia de savoir s’il ne vient pas pour vous voler ou pire.

pour avoir un chez soi et vivre en paix avec son voisin, il faut se plier aux mêmes règles et non clamer sa souveraineté, c’est à dire, chier sur le droit de l’autre et dire qu’on se garde le droit unilatéral de venir le piller quand on le veut, sans préavis et alors, tout le monde vit l’arme au poing. Pour le plus grand plaisir du vendeur d’arme bien évidemment !

vos grands penseurs, parlaient de paix en vendant la guerre !


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès