@Gollum
merci de votre lien
j’y ai juste jeté un coup d’oeil et cela me suffit pour savoir que j’ai déjà étudié ce qu’il dit et sans doute plus profondément que lui et tout ce que j’écris repose sur cette connaissance. Mais comme je l’écris, je n’ai pas trouvé le moyen pour traiter directement le sujet de manière condensé. Il me faudrait écrire un gros livre et je n’en ai pas la volonté.
cela dit, le principe de tiers exclu et de non contradiction n’est pas une logique artistotélicienne, c’est Aristote qui suit la logique conditionnant la réalité physique.
De plus, la dynamique décrite ici, implique le principe dites du tiers inclus, puisque je parle de la relation de causalité entre la coopération et la compétition.
Sinon, le principe de causalité décrit par Aristote n’est pas valide, est abscons et on peut alors parler de logique non aristotélicienne. Je parle alors de principe de relations de causalités et qui s’appuie sur trois piliers, soit, la récurrence, l’itération et la division fractale.
Comme le remarque très bien Stéphane Lupasco, l’énergie est une différence de potentiel entre deux poles opposés, sans cela, il n’y a pas d’énergie possible. Toutefois, cela implique bel et bien un sens, donc, un déséquilibre relatif entre les poles, sans cela, si les pôles sont en parfait équilibre, il n’y a pas de mouvement observables. Autrement dit, nous serions face à une énergie potentielle, mais non active. Neutre.
Toutefois, pour passer d’un système ou dimension d’espace-temps logique à un autre, il faut que les lois d’équilibre du système en itération, c’est à dire, en recherche d’équilibre soient posées, sinon, le processus d’évolution est bloqué.
Mais ce n’est pas le sujet de l’article, du moins dans l’immédiat, même si c’est le support logique.
Donc, désolé, mais cela m’éloigne trop du sujet...