@Hervé Hume la merde et qui pue
Dans la vidéo, les pèlerins sont là pour illustrer la tragédie des commun. Ce n’est pas là l’intérêt.
L’important c’est le jeu au milieu de la vidéo, qui démontre la supériorité de la propriété privé au collectivisme..
Dans un cercle sont jeté des pièces, si elles sont laissées, chaque pièce sera doublée.
Mais une personne prend une pièce, puis l’autre, puis tous les autres, car dans un bien collectif, chacun se sert aux dépens des autres et aucun ne veut être le dindon de la farce....
Le bien commun ne produit plus.
Ensuite on sépare devant chaque personne un triangle qui devient la propriété. Alors les pièces ne sont plus prises et elles restent pour fructifier...
A moins d’être con, la tragédie des communs se vérifie tous les jours.
Le locataire n’entretien pas son logement comme un propriétaire.
Personne ne ramasse la canette par terre en ville pour la mettre dans la poubelle, mais immédiatement quand quelqu’un en a jeté une dans son jardin...
Le médecin, il y a toujours qui y vont 5 fois, c’est gratuit. Celui qui a de la famille en Algérie demande une prescription de paracétamol pour envoyer au pays, c’est gratuit et commun.
Le cheminot, ne voudrait surtout pas abandonner son régime spécial identitaire corporatiste pour aller dans un droit commun pour sa retraite.
Le collectivisme ne fonctionne que pour des groupes limités, famille, amis, mais passé 7 à 10 personnes, c’est une illusion, une chimère....
Le communisme ne fonctionne pas en fonction des lois suivantes
La tyrannie des communs
L’asymétrie de l’information
La dynamique du capital (ou dynamique des valeurs).
C’est comme lancer une pomme en l’air, avec la gravité sur terre, ça retombe toujours, toujours....
C’est comme ça !
Le pire c’est que c’est démontré.
Mais comme les fous se tapent la tête sur un mur pour démontrer que ça peut servir de perceuse pour le « bien commum », les cocos renouvellent leurs révolutions et et a chaque fois, misère, terreur, totalitarisme, queues, exils encore et toujours a chaque expérience qui a chaque fois devait être le « vrai communisme » et qui explique que l’ancien n’était pas le bon.