@ Hecetuye howahkan

Je ne suis un agent de rien du tout, et comme j’ai déjà eu l’occasion de l’écrire à différentes reprises, je n’ai jamais été encarté nulle part. En fait, je suis un électron libre, et je réagis aux évènements en fonction de ma propre sensibilité et de convictions basées sur mon expérience. Je n’ai donc rien à cacher.

Quant à l’Eglise catholique irlandaise, je n’ai aucune intention de la « détruire », pas plus elle qu’une autre d’ailleurs, et cela d’autant moins que la plupart des prêtres ont évolué et se montrent beaucoup moins directifs relativement à leurs ouailles que dans le passé où ils prétendaient diriger les consciences.

C’est ce recul que j’ai souligné dans cet article pour tous ceux qui, dans l’Eglise, prétendaient encore au rôle de directeur de conscience. Les votants du Oui - dont de nombreux catholiques - leur ont signifié qu’ils n’entendaient plus se faire dicter leur conduite, comme me l’ont confirmé des militants du Oui à Dublin, et cela sans la moindre agressivité.

Peut-on parler d’« ingérence » de ma part ? Non, car j’interviens comme observateur, pas comme acteur de ce qui se passe en Irlande (même si une fille m’a collé un macaron « Yes » sur la chemise dans Grafton Street  ).

Qui plus est, je ne me souviens pas avoir vu des critiques de ta part à l’encontre de tous ceux qui, de manière pourtant militante, se sont exprimé (ou s’expriment) sur l’Ukraine, sur la Catalogne, sur le Brexit, sur les assassinats politiques, sur l’éducation et la religion hors de nos frontières françaises, etc.  

Une soirée à Kitty O’sé’s, voilà qui me brancherait sans le moindre doute si j’étais sur place. J’y suis déjà allé il y a bien longtemps, mais uniquement pour boire une bière. Plus récemment, j’ai dîné à The White House (en 2008), une excellente adresse..

Bonne continuation !