@Clark Kent
Lorsqu’est arrivé une énergie facile et pas chère (surtout le pétrole) ça a permis une surproduction qui cadrait bien avec le fordisme.
Habituellement l’encadrement de haut niveau c’était le 1% les plus riches. Face à cette surproduction le 1% n’avait plus les effectifs suffisants, il a fallu ouvrir le savoir à une partie des 99% pour palier au manque d’effectifs coté 1%.
Il a aussi fallu augmenter la connaissance de certains suite à des process plus pointus.
Voilà la création de la classe moyenne telle que décrite par Alinéa.
Il y a des revenus :
1) Qui permettent de survivre.
2) Qui permettent de vivre correctement.
3) qui permettent de vivre correctement et d’en mettre de coté pour les générations suivantes, il y a augmentation de revenus inter générations.
4) qui permettent de vivre sur les intérêts de son capital et de l’amplifier.
Avant l’énergie facile il n’y avait que le 1 et le 4.
Au début de l’énergie facile ou 30 glorieuses, le 1 est passé en 2, le trois faisait son apparition et le 4 un peu mouillé par la période collaborationniste était discret.
Dans les années 70 il y en avait assez our 2, 3 et 4.
Dans les années 80, il y en a un peu moins mais surtout le 4 se décomplexe et reprend du poil de la bête et commence à renoyauter la politique et a imposer le tout financier.
De nos jours, on essai de replacer le 2 en 1, le 3 est appelé à disparaitre en partie suite à la fin de l’énergie facile et des ressources infinies cause de sa création.
Ensuite retour à une recette qui a fait ses preuves depuis le néolitique : 1% de riches et 99% de pauvres.
Le PIB mondial a fait un bon avec l’énergie pas chère, c’est parfaitement corrélé. Les pauvres du moins une partie dans l’hémisphère nord sont devenus moins pauvres et les riches ont accumulé un trésor de guerre énorme.
Moins d’énergie retour à la case départ sauf que dans le trésor de guerre il y a les ressources alimentaires qui on fortement grossi.