@M.Madjour
Cher Monsieur,
Je vous invite à rester dans le domaine du sujet qui est l’objet de cet article et à cesser, comme vous en avez l’habitude, de vous servir de cette tribune pour y déverser vos rancœurs à l’encontre d’un pays, la France, que vous avez toute latitude d’ignorer s’il ne vous plaît pas et dont vous pouvez même éviter d’user la langue si elle vous gêne, sans parler de sa culture que vous estimez « congelée dans le classique » mais qui a au moins le mérite de ne pas afficher quelques siècles de retard et de ne pas détruire l’héritage de ses prédécesseurs.
Je vous ai invité à lire Psichari, Massignon, Guénon, et vous invite plus que jamais à prendre connaissance de la remarquable thèse de M. A. Messaoudi intitulée
Les arabisants et la France coloniale. Savants, conseillers, médiateurs (1780-1930), Lyon, ENS Éditions, 2015, 554 p. + annexes en ligne, ISBN 978-2-84788-557-6
Outre le fait qu’elle vous fournira quelques lumières pour tenter de dissiper les ténèbres épaisses dans lesquelles vous ne cessez d’errer, je pense qu’elle vous ouvrira d’autres horizons sur la production la diffusion et l’échange des idées comme des sciences.
Quant à votre conclusion bien téméraire sinon présomptueuse qui vous conduit à écrire et à me prier de bien vouloir comprendre en parlant de vous, je vous cite, que « vous avez plus de raison que la raison elle même » (attention à la fragilité de vos chevilles), vous ferez une ample moisson de citations et de pensées plus modestes en consultant ce site :
Bonne lecture et abstenez-vous, je vous prie, de revenir polluer les échanges des autres lecteurs.
Bien à vous,
Renaud Bouchard
ps
Une mise au Purgatoire vous évitera de vous faire perdre du temps.