Crise migratoire européenne : échec du Sommet de Bruxelles, le rêve carolingien fracassé du tandem Macron-Merkel
« Un pays où les écriteaux ont des ongles. N’entre pas qui veut »
Edmond Jabès (1912-1991), Le Seuil, Le Sable (Gallimard)

Les 27 pays membres de l’Union européenne réunis à Bruxelles jeudi et vendredi 28 et 29 juin 2018 pour un Conseil européen en grande partie consacré à la crise migratoire auront (par leur incapacité à mettre en place une solution à la crise migratoire européenne qu’ils ont créée et nourrie pour certains) acté la fin d’un projet européen déconnecté des nouvelles réalités du monde.
Alors qu’il imaginait, il y a encore quelques mois, que le Conseil européen des jeudi 28 et vendredi 29 juin 2018 lui permettrait de faire valider la création d’un budget de la zone euro, c’est probablement une toute autre histoire qui est en train de s’écrire à Bruxelles au point qu’Emmanuel Macron peut remballer ses projets européens, son ambition et son rêve carolingien d’apparaître comme le sauveur de l’Europe, faute d’avoir entrepris de résoudre préalablement, intelligemment et efficacement, la crise migratoire en Europe.
Le Baiser au Lépreux reçu du Saint-Père n'aura pas été d'une grande utilité malgré la symbolique de l'image.
La crise migratoire qui agite actuellement une partie du continent ne cessera pas tant que ne sera pas adoptée l’unique solution qui vaille : l’interruption complète de toute immigration et la mise en place d’une remigration de l’ensemble des populations allogènes désormais perçues non plus comme une menace (ce stade est désormais dépassé) mais bien comme la réalisation d’une submersion démographique et un changement de civilisation, cette fameuse révolution dépeinte par Christopher Caldwell dans son ouvrage intitulé « Une révolution sous nos yeux ».
Il est nécessaire d’affirmer haut et fort que le « Sommet » de Bruxelles précité est et restera, quoi que l’on pense, un échec qui aura révélé face à l’ampleur d’un problème non résolu (celui de la gestion de flux de population désormais incontrôlés) l’incapacité des dirigeants européens à le traiter intelligemment et efficacement comme l’auront démontré les misérables concepts d’un langage pseudo-diplomatique (I) qui s’aveugle sur l’annonce de solutions ineptes(II) pour refuser face à un problème insoluble (III) et à des questions brûlantes l’adoption d’une solution incontournable encore soigneusement écartée (IV).
I - Misérables concepts du langage pseudo-diplomatique
Parlant des expériences concentrationnaires ou internementales, l’historien D. Peschanski prend bien soin dans son excellente thèse de Doctorat d’État sur les camps français d’internement (1938-1946) d’apporter, comme je le fais ici à mon tour en qualité de rédacteur, une précision liminaire d’importance . Je m'autorise ce néologisme, écrit-il, pour éviter le piège des mots-valises qui interdisent d'analyser une réalité dans sa spécificité. Le camp de concentration appelle une volonté politique qui dépasse la gestion d'une conjoncture d'exception (et fait en cela système) et il génère une autre société avec ses lois propres. La situation des camps français de 1939 à 1946 ne rentre pas dans ce cadre. »
Il en va de même pour les perspectives de solutions laborieusement bricolées que les 28 dirigeants européens auront tenté de trouver et d’accréditer à l’occasion du sommet européen des jeudi 28 et vendredi 29 juin, à Bruxelles pour aborder le problème désormais crucial de l’invasion migratoire de l’Europe.
On aura vu de quelle manière des dirigeants englués dans leur incapacité à traiter d’une question pourtant très simple auront tourné autour du pot pour parler de ces camps de réfugiés, qualifiés dans un premier temps de « camps fermés » et désormais de « centres contrôlés » , avec pour mission d’assurer la répartition (Où ? Quand ? Comment ? En quel nombre ? Pour combien de temps ?) de l’ensemble des « migrants éligibles à l’asile » (où l’on voit que les mots sont articulés avec la prudence qui sied à la manipulation des matières explosives instables).
Chacun ayant pu expérimenter le fait qu’une chose qui se concevait bien pouvait s’énoncer clairement, les discussions nocturnes ont alors débouché sur l’annonce d’un concept encore plus fumeux et particulièrement flou puisque à l’issue d’un compromis conclu après neuf heures de discussions, une « nouvelle approche » a été proposée avec la création de « plateformes de débarquements » de migrants en dehors de l'UE pour « dissuader » les traversées de la Méditerranée.
Les « pontons flottants » ayant sans doute été écartés, voilà donc que les États membres ont imaginé de « mettre en place sur une base volontaire » (sans plus de précision) des « centres contrôlés » (par qui ? Où ? Comment ?Financés par qui ?) pour les migrants secourus dans les eaux européennes, (l’idée de secours dans les eaux européennes impliquant, si l’on comprend bien, que des traversées auront encore lieu qui se traduiront par l’entrée des migrants et l’accueil des navires négriers les transportant non plus dans les eaux maritimes internationales mais bien dans les zones de souveraineté maritimes des États de l’UE), centres d'où une « distinction » serait « rapidement » effectuée entre migrants irréguliers à expulser et demandeurs d'asile légitimes qui pourraient être répartis dans l'UE, là aussi « sur une base volontaire ».
On imagine déjà avec quelle ouverture d’esprit les intéressés feront la distinction entre migrants irréguliers à expulser et demandeurs d'asile légitimes…
Une imprécision en entraînant une autre, les « dirigeants » des 28 appellent désormais avec insistance à « explorer rapidement » le « concept » encore flou de « plateformes régionales de débarquement » de migrants secourus en mer hors d'Europe, en coopération avec le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) et l'Organisation internationale des migrations (OIM), pour dissuader les traversées de la Méditerranée.
Les discutants auront sans doute, on l’espère, bien noté qu’aucun pays tiers (à commencer par ceux de la rive sud de la Méditerranée, trop heureux de refiler le mistigri à ces abrutis d’Européens) ne s'est jusqu'à présent proposé pour héberger de tels lieux d'accueil des migrants secourus dans les eaux internationales, où il est question de distinguer les migrants irréguliers des demandeurs d'asile admissibles dans l'UE, « dans le respect du droit international » cela va sans dire (et donc mieux en le disant, comme chacun sait).
Le Maroc et l'Albanie, suivis par la Bosnie, ont déjà fait savoir qu'ils n'accepteraient pas de tels centres et encore moins ces dites « plateformes » qui vont rapidement rencontrer la question de la compatibilité avec le droit international de ces débarquements extra-européens.Quant à l'Algérie, il est probable que les candidats désireux de traverser son territoire seront rapidement informés de la politique d'accueil pour le moins expéditive adoptée pour dissuader les futurs passages en les réexpédiant dans le désert : http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/migrants-abandonn-s-dans-le-sahara-l-alg-rie-fait-face-de-nouvelles-accusations-402549332
On notera à ce propos la discrétion des ONG sur ce sujet il est vrai moins sexy que l'arrivée d'un navire négrier dans un port européen.
II- Le Diable est dans les détails…
Mais voilà, il se trouve que le Diable est dans les détails avec la question des « mouvements secondaires », concept encore plus verbeux qui recouvre une réalité très simple : celle des migrants illégaux ou non, demandeurs d’asile ou non, qui se soustraient par tous les moyens possibles aux processus d’enregistrement, de repérage administratif et qui, véritables électrons libres (les « mineurs » ou supposés tels), se déplacent entre pays de l'UE sans attendre de décision sur leur cas dans leur pays d'arrivée. Mais que l’on se rassure puisque les dirigeants de l’UE se sont accordés sur le fait que « les États membres devraient prendre toutes les mesures législatives et administratives internes nécessaires pour contrer de tels mouvements et coopérer étroitement entre eux à cette fin ». On voit déjà ce qu’il en est avec A.Merkel et son principal allié de droite au gouvernement, la CSU de Bavière, qui ne cesse de menacer de refouler unilatéralement à la frontière sud de l'Allemagne des migrants déjà enregistrés ailleurs faute de solution européenne à ce problème.
Car c’est bien de cela dont il s’agit dans la mesure où l’UE n’a pas compris la nécessité de mettre tant qu’il en est encore temps un terme définitif à cette politique de sparadrap sur une jambe de bois.
Augmenter les moyens de l'Agence européenne de gardes-frontières Frontex (une véritable passoire) en lui donnant plus de ressources financières (sans chiffrage précis) tout en « élargissant » son mandat et renforcer le soutien aux garde-côtes libyens en invitant « tous les navires qui opèrent dans la Méditerranée » à « respecter les lois applicables et ne pas faire obstacle aux opérations des garde-côtes libyens » relève du vœu pieux et du catalogue de bonnes intentions creuses, sauf à considérer que rémunérer les seigneurs de la guerre locaux à renfort de millions d’euro permettra (un temps) de laisser aux passeurs (qui sont en réalité les mêmes que ceux précités) le soin de se reconvertir en gardiens désormais soucieux d’empêcher les candidats à l’émigration de s’embarquer pour l’Europe.
Là encore la solution est très simple, qui passe par l'arraisonnement des navires, leur confiscation et leur mise hors d'état de prendre la mer avec en parrallèle la saisie de leurs ressources financières.
Quant à la modification de législation européenne, qui confie la responsabilité du traitement d'une demande d'asile aux pays de première entrée (le fameux système de "Dublin") , le rêve participe de la fantasmagorie absolue puisque la Commission propose de déroger à ce principe en période de crise avec une répartition obligatoire des demandeurs d'asile depuis leur lieu d'arrivée. Mais il se trouve que de très vilains pays « populistes » et « illibéraux » comme la Hongrie et la Pologne, soutenus par l'Autriche, s'y opposent frontalement en même temps que l’Italie exige de son côté un système permanent de répartition des masses de migrants et l'abandon pur et simple du principe de la responsabilité du pays d'arrivée.
Plus grave encore constitue la décision de sous-traiter la défense du Limes européen à la Turquie en pérennisant l’opération de racket financier du dictateur néo-ottoman, comme si le fait de débloquer une seconde tranche du montant annuel de 3 milliards d'euros du fonds pour aider les réfugiés actuellement immobilisés en Turquie ou d'alimenter le fonds de l'UE pour l'Afrique permettra de lutter contre les causes des migrations.
III- Un problème insoluble : l’intégration immigratoire
https://www.zerohedge.com/news/2018-06-26/migration-problem-europe-unsolvable-heres-why
Ces dirigeants européens sont nuls ou, pour dire les choses de manière plus nuancée, ne sont pas à la hauteur des questions qu’ils prétendent traiter. Les solutions qu’ils préconisent en prenant les peuples européens pour des demeurés évitent en effet soigneusement de retenir l’unique solution qui devrait prévaloir et qui consiste en un arrêt complet de toute immigration en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient d’une part, et en l’expulsion de l’ensemble des pseudo réfugiés immigrants migrants économiques demandeurs d’asile, d’autre part, auxquels il doit être signifié qu’ils n’ont pas vocation à venir en Europe et encore moins à s’y établir de quelque manière que ce soit.
La réalité immédiate qui sera, n’en doutons pas, le tombeau politique des dirigeants européens pro-immigrationnistes (Merkel, Macron) face aux résistants que représentent les pays du Groupe de Visegrád et désormais l’Autriche rejointe par l’Italie et très probablement bentôt par la France, est que ces apprentis-sorciers soutenus par l’ONU (qui est elle aussi opposée à toute « externalisation » du processus de débarquement des immigrés) vont devoir faire face aux contradictions entre Schengen, Dublin et les refuzniks de l’allocation centralisée de réfugiés.
Comme le relève le groupe d’analystes des Arvernes, il existe « un triangle d’incompatibilités d’où l’on ne sortira que par des rapatriements conséquents - ou par la renationalisation de ces politiques. Car dehors, c’est le vrai monde : plus les positions des États seront éloignées sur la question de l’asile-immigration, moins ces politiques demeureront européennes et plus elle redeviendront nationales. »
La question est effectivement très simple : quelle politique voulons-nous mener ensemble ? Car distinguer les réfugiés des migrants non éligibles à l’asile est un leurre et constitue une impasse techniquement ingérable. Accueillir d’abord et trier ensuite, ou l’inverse relève de la même fausse bonne solution. Continuer à traiter les demandes en Europe serait tenable si les États d’origine (Afrique, Moyen-Orient) reprenaient leurs ressortissants. Or, là encore la réalité crue est que les dirigeants africains ou autres, par un froid calcul économique d’exportation de la pauvreté auquel souscrivent leurs populations qui se cotisent pour envoyer des candidats capables de payer des passages à 3000 euro dans l’espérance d’un retour sur investissement une fois arrivés en Europe, leur refusent les laissez-passer. Ainsi se crée un fait accompli migratoire en Europe, aggravé par les nombreuses possibilités de régularisation, et en France par le droit du sol.
« C’est ce fait accompli qui fausse tout le débat, et dégrade la perception des réfugiés, de même que chez Molière les faux dévots nuisent à la piété authentique. Les Européens ne sont pas devenus soudainement hostiles à l’asile : il n’y aurait pas cette crispation si la grande majorité des demandes n’étaient pas infondées, et si leur rejet ne restait pas sans effet ».
Mais le monde change très vite et fait pièce au recul comme aux bons sentiments.
IV- Les sujets brûlants s’imposent d’eux-mêmes comme leurs solutions
Annoncé comme « historique », le sommet européen des jeudi 28 et vendredi 29 juin de Bruxelles, est en réalité un échec, les discussions de « fond » continuant alors que l’on aura claironné la conclusion d’un accord. Les vingt-huit dirigeants de l’Union européenne (UE) ont une très longue liste de sujets communs à aborder, du commerce mondial menacé par Donald Trump à la proposition française d’un budget pour la zone euro, en passant par les négociations du Brexit, dans l’impasse.
Mais ce sera la question des migrants non réglée faute d’adopter l’unique solution qui vaille qui aura tout fait capoter, le président du Conseil italien Giuseppe Conte, bloquant avec raison l’adoption de toutes conclusions sur la défense et le commerce tant que la question migratoire ne sera pas clairement réglée.
Le sujet s’est en effet mué en une nouvelle crise majeure pour l’UE à la suite du refus du ministre italien de l’intérieur, Matteo Salvini, d’ouvrir encore les ports de son pays aux bateaux des ONG venant en aide aux naufragés en Méditerranée, et pour la chancelière allemande Angela Merkel, sommée par son ministre de l’intérieur, Horst Seehofer, de trouver une solution « européenne » d’ici à la fin du mois alors que le président français Emmanuel Macron continue sans désemparer à prêcher pour une solution « européenne respectueuse des valeurs de l’UE ».
La réalité est qu’étant principalement politique, la crise européenne restera impossible à dénouer tant qu’elle se refusera à constater que tous les Européens sont désormais d’accord pour barricader au maximum les frontières extérieures de l’UE, refouler les migrants dits « économiques » et tenter de décourager les autres de prendre la route de l’exil.
Les « dirigeants » européens se refusent contre toute évidence, toute réalité, à tirer les conclusions de ce que les européens ont quant à eux commencé à comprendre et réaliser : le fait que les gens prétendument « accueillis » et qu’on a en réalité imposés aux peuples européens sans leur demander leur avis ne repartiront pas et risquent même de faire souche, ce qui n’est pas acceptable politiquement, sociologiquement, économiquement et démographiquement, sauf à vouloir remplacer la population européenne après l’avoir envahie et submergée par des populations allogènes au détriment et au préjudice des européens eux-mêmes qui découvrent par-delà les joies du multiculturalisme et du vivre ensemble la réalité du terrorisme islamique et de la pression musulmane.
La réaction hongroise est parlante :
La crise est très facile à dénouer : interdiction absolue de toute immigration et expulsion immédiate de tous les gens entrés de manière illégale ou complaisante en Europe (ce qui est la même chose, finalement), avec expulsion des populations à risques, i.e. musulmanes. Il est inutile de se cacher derrière son petit doigt et d’afficher des pudeurs politiquement correctes pour dire les choses très clairement.
Pour Patrick Martin-Genier, professeur à Sciences-Po spécialiste de l’Union européenne, auteur de "L’Europe a-t-elle un avenir ?" (Studyrama), interrogé par France 24, la crise actuelle qui secoue l’UE devrait marquer la fin de la construction européenne.
« Jusqu’à présent, dit-il, le projet européen s’est toujours relevé de toutes ces crises. Mais depuis 2015, l’Europe n’a pas su faire face à la crise migratoire car elle ne s’est pas donné les outils nécessaires pour y répondre. Cette crise migratoire s’est doublée d’une crise politique majeure car nous avons assisté à une montée en puissance, depuis trois ans, des partis politiques nationalistes, populistes, xénophobes qui exploitent les peurs des peuples européens. »
Brexit, avenir de la zone euro, crise migratoire… Les sujets qui fâchent ne manquent pas. Dans ce contexte, ce sommet peut-il déboucher sur des positions communes ?
« La réponse est non et a déjà été annoncée, notamment par Angela Merkel et Emmanuel Macron qui ont parlé de solutions bilatérales ou trilatérales pour avancer sur la crise migratoire. Les blocages au sein de l’UE sont tels qu’il ne peut y avoir d’avancées concrètes. Les pays de Visegrad ne veulent pas de migrants, l’Italie ne veut pas de centres fermés. Il n’y a que l’augmentation des moyens de l’agence Frontex qui met tout le monde d’accord. Quant au budget de la zone euro, ça se présente mal étant donné l’affaiblissement d’Angela Merkel. Même si un communiqué laissera sans doute penser que les 27 sont d’accord, beaucoup de pays y sont clairement opposés. »
A la question qui lui a été posée (Ce processus historique est-il irréversible ? Ou, pour reprendre le titre de son livre, l’Europe a-t-elle encore un avenir ?), Patrick Martin-Genier, jugeant que la crise actuelle qui secoue l’UE devrait marquer la fin de la construction européenne, répond ceci :
« On peut se poser la question. L’Europe telle qu’on l’a connue jusqu’à présent est morte. Le contexte a changé, il est impossible d’avancer à 27. L’élan suscité par l’élection d’Emmanuel Macron est terminé, le charme est rompu. Il y a aujourd’hui un retour en force de l’Europe intergouvernementale. Jean Monnet disait : 'l’Europe se fera dans les crises et elle sera la somme des solutions apportées à ces crises'. Il va falloir mener une réflexion approfondie sur ce qu’on doit faire ensemble pour réinventer une autre Europe, peut-être plus modeste dans la démarche, mais qui donnerait plus de place à la démocratie et aux citoyens. »
Certes, mais j’ajouterais pour ma part et pour conclure un préalable incontournable : en réglant définitivement le problème de l’immigration par son interruption et par la rémigration de populations dont l’avenir n’est pas en Europe.
Notes et sources
Denis Peschanski. Les camps français d’internement (1938-1946) - Doctorat d’État. Histoire. Université Panthéon-Sorbonne - Paris I, 2000. <tel-00362523>
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00362523/document
http://www.aloumim.org.il/histoire/camps-francais.html
https://www.babelio.com/auteur/Christopher-Caldwell/196446
https://www.tdg.ch/monde/28-trouvent-accord-migrants/story/10283575
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