@Donald Forestier
Salut Donald,
Pathétique dites-vous à Valas ?
Vous être fait enfumé par Meyssan devrait vous rendre plus prudent, et plus humble.
J’explique dans l’autre sens.
Sur de dossier Lybien vous reconnaissez un principe appliqué par Meyssan, et tant d’autres :
« …sur six informations, en présenter cinq de vraie et une de fausse. Les cinq vraies permettent d’asseoir la crédibilité et de faire passer la fausse comme une lettre à la poste. »
»… Meyssan est le BHL de la « réinfosphère » . Il y a trois mensonges par page dans ce livre, pas un seul sujet ni domaine n’y échappe. » etc...
Mais vous n’allez pas au bout de l’idée.
Vous croyez sincèrement que Meyssan ne s’est mis à appliquer cette technique de manipulation, vieille comme le monde, que seulement à partir de l’épisode Libyen ?
Vous croyez vraiment qu’il n’a pas usé du même procédé pour tout ce qui concernait le 11/9 ? Et même avant.
Pourtant cela vous l’avez gobé, tout cru, avec délectation.
Et soudainement, sur un sujet précis, vous décillez les yeux. Mais vous gardez malgré tout confiance en son opinion, opinion qui est la vôtre aussi, sur le 11/9.
Vous n’êtes finalement prêt à découvrir les manipulations de Meyssan que quand cela vous arrange, seulement quand il ne va pas dans le sens que vous souhaitez.
Ma position est évidemment beaucoup plus radicale que la vôtre : Un mec dont on découvre qu’il a pris le parti de désinformer volontairement à plusieurs occasions n’a plus aucune crédibilité, sur tous les sujets dont il a pu traiter avant ou après la découverte de ces désinformations. Question de principe de sécurité. L’inventaire total doit être fait sans parti pris.
Et vous, vous qui vous êtes fait le relais actif de cette réinfo-désinfosphère, que maintenant vous puissiez venir nous dire pis que pendre de Meyssan, sans aucune remise en question de votre propre responsabilité, en d’autres temps, en accusant même ceux qui ne vous suivraient pas dans votre exercice de dissociation ‘’Meyssanique’’ d’être pathétique, me fait doucement rigoler.
Certes mieux vaut tard que jamais, mais à l’évidence vous vous êtes arrêté au milieu du gué dans votre pseudo remise en question du binôme info - désinfo.