@Croa
La priorité de la cause anti-corrida est logique en ce sens qu’elle sape les bases morales de notre rapport à l’animal.
La priorité de la cause anti-corrida est logique en ce sens qu’elle est naturaliste, donc libérale, et de l’ordre de la convivialité bisounours consumériste a-politique (comme végan où biobio), cher au Capital.
« La guerre comme état dans lequel on prend au sérieux la vanité des biens et des choses temporelles qui, d’habitude, n’est qu’un thème de rhétorique artificielle, est donc le moment où l’idéalité de l’être particulier reçoit ce qui lui est dû et devient une réalité. La guerre a cette signification supérieure que par elle, comme je l’ai dit ailleurs : ‘la santé morale des peuples est maintenue dans son indifférence en face de la fixation des spécifications finies de même que les vents protègent la mer contre la paresse où la plongerait une tranquillité durable comme une paix durable ou éternelle y plongerait les peuples. ’ »
’Principes de la Philosophie du droit’ Hegel
La corrida est une « petite guerre », une suspension du temps court, celui du gogochon au supermarché, celui du tx d’intérêt, pour celui du temps long, le tps marxiste où d’ED, celui de l’œuvre (et les artistes ne s’y trompent pas)
C’était aussi la métaphysique du sport sacrice, de Eckmair risquant sa vie pour la 1ère de la FN de l’Eiger, avant le sport business mattuvu de gôôôche.