@Aristide
Je préférerais ne pas avoir comme vous sans doute à développer ce thème assez abject de la performance douteuse, centrifugée à mon avis, et pas seulement au mien, par l’EPO, à des sommets stratosphériques.
Les liens ne manquent pas pour montrer et rappeler ce que fut cette révolution mortifère, de l’athlétisme au cyclisme, où les tocards tout à coup dépassèrent les champions.
Jalabert, sprinter exclusif devint grimpeur hors pair, tout comme Amstrong dont il n’est pas besoin de parler....Les effets psychologiques liés à ces drogues entraînent parfois mégalomanie et pétage de plomb, pour ne pas parler de morts inexpliquées.
« Face à ces vrais professionnels du dopage, on ne peut rien faire » Des seconds couteaux qui se font prendre et paient la note pour ceux qui sont intouchables et utilisent d’autres produits, comme l’aicar, un toxique notable. Mais l’EPO est toujours utilisé, sous de nouvelles formes, à très petites doses, indécelables aux contrôles. Ne parlons pas des auto transfusions...Les accidents dus à des thromboses ont défrayés un moment la chronique
Je ne me battrais pas sur les chiffres, les pourcentages, mais de l’avis des coureurs comme Hamilton, Landis, ou Hervé, qui ont utilisé l’EPO, son effet est tellement remarquable et étonnant qu’il est très difficile de s’en passer ensuite. D’ou addiction dégénérant sur la vie privée, comme le cas Pantani.