Concernant les océans, qui absorbe la moitié du CO2 et dont l’acidification serait du fait du retard dans la composition entre micro-faune et micro-flore, cela a toujours été le cas.
Vous oubliez que l’eau et ses bicarbonates évolue très peu autour d’un PH neutre.

Si la mer n’est plus féconde, (ou fécondé par des minéraux), après s’être nourri de krill au lieu de poisson, il restera la spiruline de culture.

J’ai souvent l’impression que notre malheur ne vient que de l’humanité peu conscientisé par ces problèmes.

Avec tout les arbitrages possibles, il suffit de semer chez eux des mini-crises en leur proposant une solution de remplacement.

Il en va de même pour la viande, dont l’intérêt est limité en valeur absolu : sous-produits (gélatine, cartilage, lait, oeufs, etc) et comportements (poules contre le frelon asiatique, canards dans les rizières, etc).

Cette planète, semble t’il, connait le plus gros réchauffement zootique après celui de l’ère primaire.
Cela semble intrinsèque à l’espèce dominante, sauf à la marge, qui dès lors, est tiraillé entre progrès afin d’assurer un avenir à l’espèce, restreindre la démographie (guerre, paupérisation, éducation) ou laissez-faire.

L’érosion des sols et la culture intensive de la Beauce et de la Brie, sans parler de la chaleur de la megapole francilienne, micro-climat extrêmement chaud et donc de pression élevée, empêche les fronts océaniques pluvieux d’y alimenter l’hygrométrie, qui se perdent dans l’océan.

En supprimant quasiment la viande et en reboisant des sols érodés alloués à l’alimentation animale tant décriée, les faits de canicule disparaîtraient, le couvert nuageux étant le meilleur effet de serre.
D’autant plus que la déminéralisation des océans par accélération du cycle de l’eau (la pluie est peu minéralisé) élèverait la vie aquatique.