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Commentaire de Jean-François

sur Jacques Chirac, un bilan médiocre pour l'Europe


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Jean-François (---.---.99.52) 15 mars 2007 11:31

Voir aussi ces deux articles, dont le premier a été censuré par Agoravox la semaine dernière, et le deuxième a été soumis à Agoravox ce week-end d’après son auteur et attend toujours à être modéré :

http://blog.360.yahoo.com/blog-hemwnYcgbq_SQcISKczR?p=79

François Bayrou, candidat entre deux eaux et à coloration variable

« Tous contre Bayrou », titre la une du Journal du Dimanche. Le candidat de l’UDF se présente comme une cible traquée. S’agirait-il d’un révolutionnaire ? Pour l’UMP, « Bayrou fait du Sarkozy en moins bien ». Le sénateur socialiste Jean-Marie Bockel n’est pas opposé à l’idée d’un gouvernement d’union nationale défendue par l’UDF. Mais le citoyen peut demander : l’union nationale, pour quoi faire ? François Bayrou s’en prend à une « guerre perpétuelle » entre le PS et l’UMP qui accablerait le pays. Cependant, la continuité de la politique française depuis trois décennies, au milieu de cohabitations et d’alternances, semble infirmer ces propos. Sur l’essentiel, les médias parlent peu de la politique que préconise vraiment François Bayrou et des intérêts qu’il représente. Y a-t-il vraiment une différence entre la « droite », la « gauche » et le « centre » ? Le candidat de l’UDF n’est, semble-t-il, ni de « droite », ni de « gauche », mais tout le contraire. Seulement, en quoi incarnerait-il une rupture avec la « politique unique » ?

[fin du chapeau]

http://blog.360.yahoo.com/blog-hemwnYcgbq_SQcISKczR?p=87

Nicolas Sarkozy, l’Etat et l’identité nationale (1)

Dans un discours du 9 mars prononcé à Caen, Nicolas Sarkozy a déclaré notamment : « A force de demander à la France d’expier son passé... c’est notre participation à un destin commun qui est remise en question ». Une affirmation grave, qui ne relève plus de l’union nationale, lieu commun de l’actuelle campagne présidentielle, mais de ce que l’on s’est mis à appeler l’identité nationale. Le présent article, premier d’une série, aborde la question du statut des langues dites « minoritaires » et des réticences officielles à leur égard : craindrait-on que le mot « autodétermination » puisse être un jour prononcé pour certaines parties du territoire français ?


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