@Claudec ... Vous avez entièrement raison. Je vais d’ailleurs recompter les lapins. Regardant le verre à moitié plein empli d’un nectar au goût de mon choix de vie, il est fort possible - et sachez d’avance que je le déplore - que je vous survive de plusieurs décennies. Rien de personnel vous l’imaginez, mais pour les mêmes raisons qu’en cas de conflit nucléaire un sous-marin posé au fond de l’océan reste l’endroit « le plus sûr ». Bref, un survivalisme à l’ancienne sans aucune prétention, celui de nos glorieux aïeuls (avec internet effectivement posé sur le gâteau, devenu brioche, mais rendant aussi l’endroit accessible à la civilisation, offrant la pâle image de la RN7 de Trenet devenue les quarante voies du péage d’Orange). En attendant, cueillir des baies de saisons, des pissenlits, des champignons, un poisson, faire du pain tous les trois jours, élever des poules (pondeuses), puis se faire rincer quand c’est la saison des orages, se calfeutrer quand souffle la burle, rester à l’ombre l’été, bref rien de très savant comme vous le voyez, le vrai péquenot. Des risques ? Plein ! Tous liés à la sécurité, à la santé, aux principes de précautions (hôpitaux, médecins, pharmacies), bref rien de neuf que n’aient vécu nos anciens, non ? Et vivre sous le même toit avec trois générations qui normalement jusqu’au bout vous assisteront, ça parle encore à quelqu’un, en bas ? Vous souhaitant une vie bonne, et longue surtout ...