Rabbi Isaac ben Abdimi a déclaré :
« Le dernier jour de la fête des Tabernacles, tout le monde guettait la fumée qui montait de l’autel : lorsqu’elle inclinait vers le Nord, les pauvres se réjouissaient, les riches s’attristaient, parce que c’était signe que les pluies seraient abondantes, et gâteraient les moissons (les riches ne pouvaient donc pas les stocker pour spéculer ensuite) ; lorsqu’elle inclinait vers le Sud, les pauvres s’attristaient, les riches se réjouissaient, car c’était signe que les produits du sol pourraient se conserver. »
Talmud, traité Yoma 21b
ce qu’il y a là c’est la description d’un frigo :
ce frigo commence avec la volonté de « mettre à l’abri la population »
de là à la « mettre en cage », il n’y a en général qu’un pas, allègrement franchi,
car le frigo c’est le spectacle -
et l’aménagement du territoire est son hardware, son infrastructure de base
mais le frigo est transport :
il est transporté surtout par ceux à qui tout « transport » est interdit
sous le règne de la circulation marchande :
la cage ? c’est pour le bébé-marchandise déjà..
la caméra dans le champ ?
c’est pour moi, mon bois et mes bêtes devenus soudain marchandises...
il restera des villages on dit...
dans le Sikkim, dans le Zanskar