Évidement un gaucho collabo ne sait pas ce qu’est un roman (à peine connaît-il les porno de gare à colons) sans parler de la différence avec la tragédie, la comédie, l’épopée
Le héros du roman (le vrai) est un être problématique, (contrairement au gogochon, où tout est simple...se branler). Soit il a une morale plus étriquée que son tps où décalée (Don Quichotte, Rouge&Noir) soit il en a une plus large, idéelle (l’éducation sentimentale) soit ds le renoncement (nihiliste comme Dostoïevski par ex). Dans tout les cas il est démonique, passif où actif dans une recherche vaine car non conceptualisée d’un monde ni totalement mvs ni totalement bon (à l’image du capitalisme, de la société bourgeoise, le roman est l’art de l’époque bourgeoise) Insuffisance conceptuelle de la société contre autre branlette nuit debout du héros (pour les connaisseurs la conscience reflet marxiste) Rien n’est univoque, authentique où inauthentique, négatif et positif (ds l’épopée, le héros positif ds un monde positif)
Espoir illusoire dépourvu d’illusion, le chemin du héros romanesque est fini, le voyage commence. C’est ça le roman. Ds les modernes Houllebecq le rend assez bien (dans la composition de principe, mais les scénari sont parfois nuls...)
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