@leypanou
Bonjour
Entièrement d’accord avec vos propos. La
plupart des organisations dites écologiques feraient mieux de se préoccuper de
ce que la finance s’est appropriée sur le dos de l’écologie.
Le fait que la finance se soit emparée, suite
au protocole de Kyoto, de la titrisation des droits à polluer est un scandale. Depuis
les années 2000, le marché carbone des
droits à polluer n’est plus là pour « encadrer » la pollution, il est
devenu une extension du domaine de la finance. Lire l’ouvrage d’Aurélien Bernier, « Le
climat otage de la finance ».
Toute la lutte contre
le réchauffement a été liée sur l’empreinte carbone anthropique. Le problème de
fond dans l’affaire du dérèglement climatique, est que l’on a assis les
décisions sur un postulat « carbone ». Postulat, oui, car rien n’est
démontré clairement dans ce domaine.
Exit la dedans, la
production de CO2 naturelle, océans, végétaux, mammifères, volcanisme, je
cherche encore des analyses précises, et
non orientées, de ces dégagements naturels. Après 20 ans de recherches dans
ce domaine et des kilomètres d’écrits parcourus, je n’ai rien trouvé de précis à
ce sujet. Et pour cause…. Le paramètre CO2 n’est pas suffisant, pour démontrer
de façon évidente et non discutable, la corrélation du réchauffement, avec le
développement industriel.Mais ……..il est très pratique pour asseoir les
mesures coercitives et la spéculation.Bref ,très intéressant pour l’état et les puissance financières.