Et dire qu’une poignée et demi de députés ont déposé le 27 juin 2018 une
PROPOSITION DE LOI N° 1118 visant à ajouter le vaccin contre le papillomavirus sur la liste des vaccinations obligatoires.Est-ce un réel problème de santé publique ? sachant que « par an, il naît un peu plus de 400 000 filles susceptibles d’être la cible de ce vaccin », et que la protection contre le cancer du col de l’utérus concernerait au final seulement 144 femmes !
On apprend que dans 3 études réalisées à Reims, Amiens et Besançon
le portage d’HPV à haut risque concerne 14 à 15 % de la population
soit 60 000 femmes (page 2).
Parmi ces dernières 2 à 3 % sont porteuses des HPV 16 et 18
prédisposant au cancer du col et présents dans ce vaccin (page 2), soit 1
800 femmes (page 2).
Dans 90 % des cas, ces virus s’éliminent naturellement dans l’année il ne reste donc que 180 femmes concernées (page 2).
Elles ne seront protégées que contre 70 % des virus à haut risque soit 144 femmes.
On pourrait courir le risque de vacciner 400 000 personnes pour en protéger 144 si ce vaccin n’avait pas d’effets indésirables,...
(citations et chiffres indiqués dans cet article
de 2007 publié ici par LNPV sur AV analyse argumentée avec les chiffres publiés dans la plaquette du Quotidien de médecin
diffusée après que ce vaccin a obtenu le prix « Galien ». Je donnerai à
chaque fois la page où vous pouvez retrouver cet argument dans le
fascicule du prix « Galien ».)