Le problème qui
fausse tout, avec le racisme, c’est que sa perception est complètement
subjective. Rochaya Diallo considère comme racistes, les personnes qui lui
demandent quelle est son origine.
Il est devenu
courant de considérer l’islamophobie - ô combien légitime - comme un racisme. En
Suisse, une publicité représentant un ours en peluche, à demi immergé dans une
eau de lessive, brun dans sa partie supérieure et blanc dans sa moitié inférieure.
Le Conseil
représentatif des associations noires de France a demandé la suppression de la Nuit des Noirs (50 éditions) du carnaval
de Dunkerque. Le footballeur Antoine Griezmann a été accusé de racisme pour
s’être déguisé en Harlem Globe Trotters.
Dans tous les
pays d’Europe, les « populistes » qui affirment leur droit de vivre de préférence avec leurs
compatriotes - gens de la même patrie - sur la terre qu’ils ont reçue en
héritage de leurs ancêtres, sont taxés de racisme.
Victor Orbán et
Andrej Babis, premier ministre tchèque aussi, lorsqu’ils proclament, pour le
premier : « La Hongrie est notre
patrie, elle est notre vie, nous n’en avons pas d’autre, et c’est pourquoi nous
lutterons jusqu’au bout pour elle et ne nous rendrons jamais. » Et pour
le second, « Nous devons défendre ce que nos ancêtres ont édifié
pendant plus de 1000 ans »
Alors, personnellement,
je serais d’avis d’envoyer tous ces antiracistes se faire foutre en bloc, pour leur signifier
que nous avons compris que leurs gesticulations n’ont d’autre but que de nous
dissuader de défendre notre territoire, notre identité et notre culture.