@Krokodilo
Bonjour,
J’en remets une couche...Bis repetita.
Ce n’est pas l’anglais qui est à remettre en question, ni même le globish en usage dans les aéroports ou dans certaines transactions internationales (sous -langue que parlent plus ou moins bien nos élites), mais l’anglomanie en vogue, jusque chez mon coiffeur..
Comme disait Churchill : l« anglais est facile à parler...mal.
(Ce que l’on peut entendre ou presque)- »C’est aussi indispensable dans un brainstorming que pour un one to one au desk du boss. En effet, si vous ne comprenez pas les résultats du benchmarking sur le B to C offshore, gare au downsizing. Une place dans l’open space, ça se mérite. Vous devez être simply the best. Mais no stress : avec un bon coach, sky is the limit quel que soit votre background. Travaillez straight to the point pendant les jours en day off et vous serez on top.«
-« L’anglais est la langue du vainqueur. »(général Jean Béca)
- »L’anglais est l’avenir de la francophonie" (B.Kouchner)-Dans son rapport de 1987/88, le directeur du British Council écrit « Le véritable or noir de la Grande-Bretagne n’est pas le pétrole de la Mer du Nord mais la langue anglaise . Le défi que nous affrontons est de l’exploiter à fond. »