Cette analyse relève du denie de réalité la plus odieuse. De l’inversion des rôles.
L’ « affaire Finkielkraut » est évoquée sur tous les médias aux heures de grande écoute et s’illustre non pas par la critique mais par le lynchage.
A-t on évoqué Monsieur R. au 20h de TF1 ou chez JP Elkabach sur Europe ?
L’appel à la haine, nous allons dire anti-français (bien que l’imagerie femme blanche = pute ne permet aucune illusion sur les réelles intentions du personnage) a donné lieu lui, à une serie d’emissions de troisieme zone (type Paul Amar sur la 5) où le contenu consistait à affirmer que ce sinistre rapeur était en réalité une victime.
Quelle belle illustration en effet de ce que dénonce Finkielkraut à juste titre :
"Dans le coin blanc, on doit systematiquement se faire pardonner, s’absoudre.
Dans le coin noir, on est la perpetuelle victime de l’autre."
« Les policiers qui circulaient à Clichy quand les deux mômes sont morts n’avaient rien à y faire et doivent comparaitre ; les assassines de JC Irvoas sont en réalité des victimes, c’est la société qui est responsable de ce meurtre »
Le MRAP a-t-il porté plainte contre Monsieur R. ?