@bluerage
Merci de votre intervention même si elle n’est guère favorable, la démocratie permet aux gens de ne pas être d’accord
les uns avec les autres.
Je voudrais y
répondre sans être nécessairement certain de vous convaincre.
Je n’ai pas le
sentiment d’écrire n’importe quoi car c’était pourtant ce que
Zemmour avait laissé entendre lors d’une interview à un journal
italien et puis qui, se rendant compte de l’énormité de ses
déclarations, avait, timidement quand même ! estimé qu’on
l’avait mal compris : la barrière de la langue, quoi !
Et il est aussi des
hommes et femmes politiques qui proposent une renégociation des lois
maritimes avec l’abrogation de l’obligation du sauvetage en mer.
Quant à vos
remarques sur le port le plus proche, les réfugiés sont sauvés en
haute mer et il ne faut pas être un aigle en géographie pour savoir
que les côtes les plus proches sont le plus souvent l’île
italienne de Lampedusa, Malte ou un port espagnol près de Gibraltar.
Personne ne rêve de
quitter son pays d’origine : il faut donc avoir des raisons
vitales pour accepter de venir dans des pays dont la population leur
est en majorité hostile, qui ne veulent pas les accepter mais qui
ne rechignent pas à les exploiter en toute illégalité par rapport
à leur propre législation : c’est le cas du nord de l’Italie
où des entreprises entières ne fonctionnent que grâce aux
immigrés.