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Commentaire de Jean Keim

sur Le Monde dénonce la « haine » du père d'une victime du Bataclan, tout en comparant Nick Conrad à Georges Brassens


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Jean Keim Jean Keim 30 septembre 2018 18:41
Quand nous ne sommes pas dans un événement qui nous touche de près comme celui du Bataclan, nous avons l’avantage de pouvoir percevoir plus facilement que la haine est un sentiment destructeur, dévastateur, qui nous lie, nous attache inexorablement avec les choses et les gens sur lesquels elle se porte, tant que la haine est là, elle interdit la paix intérieure, et donc la paix avec le restant du monde, c’est cette même haine qui a poussé les terroristes – des gens qui réagissent en propageant la terreur – à accomplir leurs abominations.

Haine contre haine, guerre contre guerre, idée contre idée, c’est sans fin.

Il y a tant de choses exprimées sur la haine, la peur, la solitude, les idéologies, il est impossible, que ce soit par la psychanalyse ou par toute autre méthode analytique, de résoudre chacun de ses problèmes, une vie ne suffirait pas, pour un problème compris, plusieurs viennent ensuite prendre la place, il nous faut chercher à percevoir si tous ils n’ont pas une source unique qui siégerait dans notre esprit.

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