A l’auteur.
Très bon papier.
Le constat est sans appel.
Il n’est plus temps de discuter, de composer, de trouver des « accommodements raisonnables » etc.
La trilogie Immigration-Islamisation-Terorisme sera la question fondamentale pour les prochaines consultations électorales.
La solution est sous nos yeux : dehors, et vite ! Tout le monde.
Comme l’écrit Christian Labrune,
"De toute façon, les banlieues ne vont pas tarder à exploser. La
moindre bavure policière, statistiquement inévitable, mettra le feu aux
poudres, et ce qui se passe en Israël du côté de la barrière de
sécurité, nous le verrons en France à la frontière beaucoup moins
clairement délimitée des
territoires non pas perdus mais abandonnés de la république.
C’est
pour éviter ça, on s’en souvient, que Hollande s’était précipité, avant
toute enquête sérieuse, au chevet d’une pauvre victime de « violences
policières ». C’est pour cette raison que les ministres de l’intérieur,
qui crèvent de trouille (auquel cas, on démissionne !), imposent aux
forces de l’ordre d’en faire le moins possible, de laisser faire, et de
laisser tranquillement l’ennemi intérieur prendre possession des
banlieues.
Par conséquent, dès que ça éclatera,
un gouvernement déjà impuissant comme l’est l’actuel sera tout à fait
incapable de faire face. Il n’y aura plus que l’armée, comme le prévoit
la constitution, mais une parenthèse dictatoriale dans l’histoire d’une
république, cela n’a rien de réjouissant. On a connu l’état d’urgence,
cette fois on connaîtra l’état de siège."
http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/decryptages/2016/07/19/25003-20160719ARTFIG00318-etat-d-urgence-etat-de-siege-etat-de-guerre-quelle-difference.php
Et les snowflakes comprendront, comme dans les ouvrages d’Obertone ou de Jean-Luc Marret (Guerre totale) qu’il ne s’agissait pas de dystopie mais d’avertissement.
Il sera alors trop tard pour ceux qui n’auront pas compris, n’auront pas voulu comprendre, écouter et voir ce qu’on leur disait et montrait.
Renaud Bouchard