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Commentaire de Hervé Hum

sur Les dérives du communautarisme à l'école, salafisme attention danger !


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Hervé Hum Hervé Hum 16 octobre 2018 15:05

@Gambetta


Je tenais à ce que votre réponse soit claire, comme tous les immigrationnistes vous voulez bien des migrants mais chez les autres.

je vais vous faire un petit cours de rhétorique et de logique.

Quand vous prenez l’exemple de la métaphore en parlant de quelqu’un qui vient piller votre frigo, je répond par la même métaphore, mais dès l’instant où vous sortez de la métaphore pour parler de la réalité, alors, je n’ai plus à rester dans la métaphore que vous avez quittez, je vous répond aussi par la réalité.

Autrement dit, dans la réalité, chez moi, ce n’est pas mon pays, car sinon, c’est à moi que vous devez payer les impôts et taxes ! ce qui est bien évidemment ridicule.

Bref, la technique consistant à amalgamer métaphore et réalité est totalement manipulatoire et de fait, soit d’une personne stupide, soit d’une personne de mauvaise foi, malhonnête. Faites donc votre choix entre les deux !

Ainsi, je ne vous accueillerai pas chez moi, pas plus qu’n migrant, parce qu’il y a suffisamment de maisons vide pour cela en France, sauf en cas d’urgence comme dans le cas des inondations. Ce qui pose la question de l’accueil des migrants voguant sur des embarcations sur le point de sombrer, des migrants venant de pays en guerre, lorsque cette dernière est soutenue, voir organisé par notre propre gouvernement, qu’il agisse en tant qu’allié ou non, le principe de complicité rend ce dernier aussi coupable.

Quand à votre réponse sur l’extrait que vous recopiez, je crains que vous répondez à coté de la plaque. Mais peu importe, vos question n’en demeurent pas moins valide.

Ma réponse est simple, montrer l’exemple et ne plus avoir deux langages, deux poids deux mesures. C’est à dire, parler de respect de l’indépendance d’un coté et de l’autre, agir (les gouvernements successifs) contre cette indépendance par pur esprit de domination et d’exploitation. Quid de la dictature en Algérie.

Le fait est que le système économique défendu par pratiquement tous les gouvernants, même en Algérie, sont d’accord sur une chose, l’état d’urgence permanent est la condition pour garantir leur propre pouvoir et la paix ce qui les en chasse. Il faut donc avoir un ennemi permanent. La minorité qui tient les rênes de l’Algérie, vit très bien, tout comme partout ailleurs et peut d’autant mieux soumettre ses citoyens qu’il existe une menace, vrai ou construite de toute pièce.

Toute dictature vise toujours, à terme, à s’approprier les biens et exploiter le travail d’autrui à son profit. Que ce soit par la monarchie ou la république avec des pseudos démocratie.

Autrement dit, dans la situation actuelle, il n’y a pas de solutions, parce qu’il n’en faut pas pour que le système perdure et donc, la seule alternative est entre la passivité (accepter l’immigration) et l’agressivité (la combattre), créant un clivage mortifère, mais il n’y a pas de voie du milieu, c’est à dire, la justice et l’éthique. Donc, désolé, mais il n’existe pas de solution avec le système économique actuel, qui dicte ses propres conditions d’existences et oblige les politiciens qui seraient honnêtes, à devoir agir malhonnêtement ou être suicidé avec deux balles dans la tête.

On ne soigne pas un problème en traitant ses conséquences, mais uniquement ses causes, mais cela exige de changer de mode de penser, sans cela, vous êtes condamné à ne traiter que les conséquences et vos questions resteront toujours sans solutions autre que la violence, parce que la passivité est aussi une violence, faites à son encontre.

La seule solution que je connaisse, c’est le principe de responsabilité, mais elle est incompatible avec le système actuel et la propriété économique de ce que modératus appelle "le grand patronat et les puissances financières)



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