En réalité, tous cela est faux. Il y a eu un rapport Obin sur l’obscurantisme religieux à l’école. Il en ressortait que :
Non seulement les profs sont majoritairement à gauche, mais sur le plan humain, les cadres, les militants, ils sont, les gauches, si on rajoute certains autres agents publics et para public. Notamment parce qu’ils ont du temps.
Partout le ministère qu’ils co gérent, quel que soit le pouvoir, a organisé des ghettos. Principal constat du rapport, même dans les gros bourgs ruraux, il y a un établissement pauvres, racailles, migrant, et un autre gosses de profs, fonctionnaires et bourgeois.
Certains chiffre région parisienne évoque que les profs sont et on été les principaux bénéficiaires des exemptions de carte scolaire.
Les études internes montrent que de façon écrasantes ils fuient les établissements populaires, non seulement pour leur gosses mais pour eux même. On y colle les débutants .
Enfin, un sociologue trotskyste a produit une étude qui montrerai que les gosses de pauvres qui vont dans le privé catho en se saignant, réussissent mieux que dans les ghettos du public, quand les gosses de riches ayant accès aux lycées publics centre ville payent moins cher pour leur éducation.
Cela est en train de changer. Même les lycées des centres se dégradent.
C’est un « peuple » qui a détruit notre école publique. Le peuple de gauche.
Aujourd’hui, nous sommes comme le Québec après sa réforme progressiste de l’école il y a trente ou quarante ans.
Quatre types de parents.
Ceux qui ont leur gosses dans le privé
Ceux qui vont le faire
Ceux qui veulent les mettre dans le privé mais ne peuvent pas
Ceux qui n’ont pas d’enfants.
Allez voir le dernier live du raptor et de ses potes gosses de migrants sur ce qu’ils veulent faire pour leur gosses. Tous chez les curés !
Il n’y a pas de solution. On ne peut pas financer ce qui reste du public et aider les pauvres à aller dans de vraies écoles. Il n’y a pas assez d’argent. En revanche, on a vraiment besoin constamment de nouveaux migrants pour faire survivre l’institution, parce que leurs gosses à eux ont rarement le choix.