Il est contradictoire en numérologie d’associer la dualité au chiffre 2, dit féminin (par rapport au « 1 » phallique). La dualité sur un plan psychologique se résume à : a ou n’a pas. petit cerveau=moins intelligent (contredit par celui de nombreux savants et érudits-gros cerveau-gros Q.I.. Possède ou ne possède pas de phallus (castré ou pas). La troisième dimension (en art et dans de nombreux domaines,...) nous introduit (si je puis dire) dans le champ d’une vision plus globale : macrocosme par rapport au microcosme. Le tout étant relié. C’est le troisième dimension. Mais qui ne peux s’appréhender sans intégrer le 2 (féminin). Le dualisme est une manière d’appréhender le monde sous son angle le plus pragmatique. Celui de Saint-Thomas.N’existe que ce qui est directement perceptible (chez l’enfant, cela correspond à la phase dite de « latence » (l’anti-Oedipe, artifiellement reposant, il faut coller au réel, le nez sur celui-ci et sans recul). Heureusement, l’adolescence, le retour des conflit lié à la sexualité, l’Oedipe reconfronte l’individu aux questions existentielle (qui chez nombreux jeunes sont parfois fatales : le monde n’est pas comme je me l’imaginais, mes parents ne sont pas parfait,...le réel est ailleurs, qui suis-je,... et l’inconnue de présenter sa face étrange). La sortie de cette période apparente de chaos nécessite le recul, ET arrive alors, dans le meilleur des cas la conscience de la globalité du monde et de la conscience que tout est relié. que notre histoire s’inscrit dans l’inconscient collectif et que nous ne sommes qu’une partie du puzzle. Il n’est dès pas difficile de comprendre que la politique est fondamentalement : anti-oedipienne et fixée à la latence. Incapable d’être à la fois dedans et dehors. Il reste alors une porte de sortie. Et si tout cela était parfaitement agencé,.... ???