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Commentaire de Sergio

sur Le relais est coupé


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Sergio Sergio 6 novembre 2018 19:00

A l’auteur

Il y a deux pièges :

Le premier que vous relatez, consiste à ce que la société de consommation sursature en calories de toutes sortes, les personnes qui sont dans le besoin de tout, de manger, de se chauffer, de se vêtir ...., bien sur au dépend de leur santé et de leur amour propre. Cette pratique perverse et addictive, rend les personnes dépendantes à un système de consommation, lui même ’dealer’ de mauvais biens et précède ce que sera pour bientôt, la prise en charge des laissés pour compte de la société d’aujourd’hui pour nous, et de demain pour nos enfants, un peu comme le revenu universel. Rien n’est gratuit, il y a certainement un observateur qui repère, comptabilise et étudie les comportements, afin d’organiser la Grande Usine à Précarité Unifiée.

Vous avez eu le courage de partir et de le dire ! bravo.

 Le deuxième, est d’assurer par l’Etat, que chaque Femme/Homme/Enfant soit, vêtu, chauffé, nourri, logé, employé, éduqué ... Mélusine appelle cela le communisme.

D’un côté le capital et de l’autre l’Etat. 


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