Le vrai courage, c’était de déserter, pas d’obéir à faire la guerre.
et le vrai combat, c’était de faire la révolution contre ce gouvernement (comme les précédents) inféodé aux intérêts des possédants, qui pour mâter son prolétariat contre ses velléités de justice sociale, sollicita la guerre, à ses partenaires européens, eux même au prise avec leur propre prolétariat. Comme cela fut fait pour mâter la commune de Paris d’ailleurs.
Ainsi, pendant que les dirigeants faisant la guerre ensemble, les soldats, tous des prolétaires sauf exception, la faisait contre eux même.
Le résultat fut la mort de 19 millions d’hommes et de ces millions de blessés, souvent mutilés, où, loin de leur rendre justice, on les assassines une seconde fois avec ces hommages cachant la vérité sur les raisons de leur mort. Pour perpétrer un mensonge qui loin d’être dénoncé, est devenue une pseudo vérité où encore aujourd’hui, comme le rappelle Pierre Sarramagnan-Souchier, tout est fait pour les préparer à s’entre tuer une nouvelle fois. Et ce, en usant du même artifice. La patrie en danger, mais qui cache toujours la vrai raison, le capital des possédants en danger.
Quand le peuple est affamé et réclament le sang des coupables de sa misère, il ne faut pas qu’il regarde à l’intérieur ceux qui le gouverne et vivent sur sa peau, mais à l’extérieur ou bien, que ce soit celui qui à l’intérieur est désigné comme l’étranger, celui qui doit être renvoyé à l’extérieur.
Mais comme le remarque Tall, si aujourd’hui la guerre tarde a revenir sous nos latitudes, c’est qu’entre temps est apparut l’arme nucléaire qui n’épargne personne. Qu’à cela ne tienne, la guerre dites froide suffit à contrôler les peuples et nos dirigeants y travaille d’arrache pied !
On va donc célébrer des bouchers pour les remercier de leur efficacité à envoyer à l’abattoir des millions d’êtres humains,. Par milliers chaque jour, sans doute même devaient t’ils f aire des paris à celui qui en tuerait le plus en une journée.
Où la polémique autour du maréchal Pétain sert surtout à faire diversion, donner du grain à moudre aux idiots de services et continuer à s’apitoyer sur les conséquences sans jamais regarder les causes.