Voilà ce qui se passe avec un président opportuniste qui n’a que d’égards que pour les starlettes et les super riches.
Il a beau sortir de l’ENA, il n’a visiblement aucune culture historique ou alors des clichés tels qu’on les voit dans les films. Macron, c’est la concaténation, comme Trump finalement, de toutes les mauvaises idées et manières de la politique de ces quarante dernière années. C’est donc lui aussi un cliché.
Celui-ci est prix entre plusieurs feux : les USA, l’UE et les opposants politiques (décrits tel des monstres populistes). C’est pourquoi il punit les Français d’un côté pour aller signer des contrats avec l’horrible gouvernement vietnamien.
Ce genre d’actions a l’air irrationnelle à première vue mais la classe politique pense que le libéralisme est l’ouverture du pays à toutes les lubies des entrepreneurs sans scrupules qui « ont besoin d’être choyés pour venir s’y installer ou pour y rester », que l’immigration subie est une bonne chose et que la destruction des autres pays — provoquant par voie de conséquence cette immigration, sans compter la pauvreté, la misère, l’esclavage et la mort — « mauvais » est d’une logique imparable.
Malheureusement, pour une fois, il a raison sur le cas de Pétain quand bien même il n’en a rien à cirer. Le révisionnisme est une plaie et une tare sévère pour ce qu’on appelle « le devoir de mémoire » car on ne voit les choses que d’une manière binaire sans prendre en compte le contexte (situation politique économique et sociale, comportement de la société, guerres, etc.).
La raison de sa présence n’est due qu’à son envie de redorer son blason plus que terni — et ô combien brillant pendant les six premiers mois même si la catastrophe était déjà annoncée — pour redevenir crédible et empêcher que son parti de robots télécommandés ne s’effondre pas.
De toute manière, ça ne risque pas d’arriver. L’opposition est trop divisée et surtout d’une épouvantable lâcheté. Lorsqu’on constate que Le Drian — le gars qui vantait le travail des terroristes en Syrie — est maintenant à EM, il est facile de comprendre que les orientations idéologiques ne cachent que le carriérisme et l’appât du gain.