Un beau texte de mépris gauchiste sur les autres...
Un beau concentré de préjugés et d’inepties absurdes
Il y a des gens qui vivent en périphérie et ont un travail près de chez eux et des gens de la ville qui vont travailler en périphérie.
Les impôts fonciers et locaux dépendent de la politique de la ville.
Par ailleurs, les services publics bénéficient plus aux citadins qu’aux villageois, il est donc logique que ces derniers payent plus.
L’argument écolo est tout aussi con. La voiture permet de s’approvisionner en optimisant les déplacements en une fois.
L’urbain transfère sur les autres sa charge écolo, livreurs, services , produits transport urbains et administration gestionnaire.
il est un adepte des courses livrées, de la consommation de produits industriels et articles par correspondance et bénéficiaire net des services public.
Le chauffage collectif chauffe même quand ce n’est pas nécessaire. Il est écologiquement déresponsabilisant. Un habitant de la campagne ferme son chauffage avant de partir et le rallume que lorsqu’il a besoin. Il est donc utilisé mieux.
Le métro est le lieu le plus pollué. Les transports collectifs empêchent la liberté de circulation, imposent des contraintes de temps d’horaires, et de disponibilités, et le personnel pléthorique ne le fait pas moins polluant.
Si le bobo voit le bus plein de monde, il ne voit le bus tourner pour rien le soir à 23h avec quasi personne dedans et la pollution engendrée inutile.
L’habitant des campagnes a un bilan actif et passif vis a vis de la nature. A la campagne c’est un gain positif pour la nature, il l’entretien, plante, taille, agrémente, cultive.
L’urbain lui a par mépriser les autres, ne plante rien, n’entretien rien. Il n’a que du passif à son bilan écolo.
Grouper les habitats est encore une niaiserie et surement pas ecolo. Demandez a Sarcelles si les gens sont heureux d’y vivre.