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Commentaire de Serge ULESKI

sur Gilet jaune virtuel


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Serge ULESKI Serge ULESKI 20 novembre 2018 17:58

Ce qui n’est pas acceptable c’est que l’on mette en danger des millions de foyers modestes à coups d’augmentation du prix de l’énergie fossile (énergies non renouvelables) au nom d’un transition énergétique mensongère ; des foyers pour lesquels aucune alternative s’offre à eux : privés d’auto faute de pouvoir remplir leur réservoir, c’est toute leur vie qui bascule….

Nous ne sommes pas dupes pour autant : foyers populaires… cible dans laquelle l’abstention fait des ravages, d’où l’indifférence du gouvernement et de la « présidence » à l’égard de leurs colère et désespoir.

Ce qui n’est pas acceptable non plus c’est que les médias se fassent les porte-parole de ce que l’on pourrait nommer « un mensonge d’Etat » car les raisons de la sur-taxation des carburants est à trouver non pas auprès des différents rapports du GIEC mais bien plutôt auprès de cette usine à gaz, véritable Etat dans l’Etat, à la tête duquel siège une caste totalement dédiée depuis 20 ans à la bonne exécution des directives et des traités signés par des chefs de gouvernement et des chefs d’Etat jean-foutre, d’une Commission européenne qui n’en finit pas de travailler à la destruction de l’U.E : j’ai nommé : Bercy ; fange arrogante, autoritaire et anti-démocratique, créature d’un fascisme monétariste.

Un Bercy aux ordres d’une Commission dédiée à la paupérisation des Etats, dictature du remboursement d’un endettement pourtant imposé dans les années 70 : véritable coup d’Etat politique.

Que l’on ne se fasse aucune illusion : il semblerait que la prétendue « conversion écologique » soit d’une part le cache-sexe d’un racket organisé des foyers français et d’autre part, que celle-ci… tout comme la liquidation de notre industrie dans les années 80, se fasse sur le dos des classes populaires et petites classes moyennes, une nouvelle fois, sacrifiées pour le bien-être à venir des chérubins de l’hyper-classe et des classes supérieures et moyennes supérieures de nos centres-villes.

Abandonnés par des syndicats du public et du privé lâches et veules, à la tête desquels la bourgeoisie a su se positionner au fil des ans, compromis après compromis avec le patronat… un seul espoir à l’horizon : que les Gilets jaunes n’oublient pas leur colère à toutes les élections qui vont se succéder.


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