mmbbb, Je ne commenterai pas votre logorrhée qui est illisible et n’apporte rien de construit. Mais, par contre, votre jugement de valeur qui consiste à dire que je suis « malhonnête » parce que je ne tiendrais pas compte de « l’écologie scientifique », est vraiment de la mystification. L’insulte vient toujours par manque d’arguments. Je renvoie à mon article précédent déjà mis en lien qui analyse scientifiquement et, à l’appui d’un appel de scientifiques internationaux, une écologie fondée sur des raccourcis pseudo-scientifiques, et une bonne dose de peur. Vous me pardonnerez de ne pas être l’un de ces moutons qui suivent le troupeau sous cette déferlante permanente de propagande qui lave plus vert que vert. Il me semble qu’en société démocratique il doit il y avoir des contre-pouvoirs qui puissent se faire entendre, alors qu’ici, il n’y la place que pour une chape de plomb à sens unique. Ceci, démontrant par cette censure de toute contradiction, la faiblesse des allégations sur lesquelles se fonde cette écologie de l’alarmisme, du catastrophisme et de la terreur.
Par ailleurs, je n’ai rien censuré contrairement à vos accusations ni personne. Il faut voir un psy pour votre parano.
Croa, commencez par ne pas me tutoyer, je ne suis pas votre pote ! Surtout que cela est fait sur un ton qui sert à introduire déjà par la forme une sorte de discrédit des choses. Vous pouvez croire et soutenir toutes les inepties écologistes que vous voulez, en justifiant des restrictions et des augmentations au nom de sauver le monde, présenté en fin de vie de manière absurde. C’est votre bon droit. Je vous le laisse. Quant à savoir lire les rapports du GIEC, Sciences et vie l’a fait pour précisément constater que ce dernier disait lui-même que le réchauffement climatique était devenu inexistant, tout en maintenant bien sûr ses allégations catastrophistes et la mise en procès de l’Homme. Ce n’est pas en faisant effet de loupe, par médias interposés, de faits éparpillés aux milles causes, tous ramenés au réchauffement climatique de façon artificielle, que cela changera quelque chose au caractère d’imposture qui domine l’écologie qui nous est servie. Elle sert d’argument à une politique ultralibérale tournée contre les petits salaires et le bas des classes moyennes que l’on éreinte en les appauvrissant, pendant que l’on encourage les riches à s’empiffrer. Vive les Gilets jaunes !