C’est une honte de cette justice dite française, composée de gauchistes
méprisants les victimes et glorifiants les agresseurs, surtout s’ils
sont « L’Autre », le divers, l’enrichisseur, celui qu’on glorifie à
longueur de colonnes, d’ondes hertziennes et de gigabits sur tous les
réseaux cuivrés ou en fibre !
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@hunter
Sur le « mur des cons » du syndicat de la magistrature, rappelons-le, figuraient les noms de deux pères dont les filles avaient été assassinées par des pauvres bougres plus à plaindre qu’à blâmer.
Sans doute, le syndicat de la magistrature n’est-il pas toute la justice en France, mais on peut quand même s’étonner de cette déclaration du Conseil supérieur de la Magistrature :
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/mur-des-cons-le-conseil-superieur-de-la-magistrature-refuse-de-rendre-un-avis_1250518.html
Extrait d’un article de Wikipedia qu’on trouvera à cette page :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Pierre_Escarfail
"À la
suite du procès, Jean-Pierre Escarfail fonde l’Association pour la
protection contre les agressions et crimes sexuels (APACS) et voyage
dans de nombreux pays afin d’étudier les différentes législations
mises en place à l’étranger pour lutter contre la récidive
des criminels sexuels, et pour une meilleure prise en charge des
victimes.3[réf. nécessaire]
Il participe
régulièrement à des commissions, auditions ou études au sein
d’institutions telles que l’Assemblée
nationale et le Sénat
afin d’y apporter son expertise.
Son travail a notamment permis la mise en place en France
de mesures comme l’évaluation de la dangerosité des délinquants
sexuels, le bracelet
électronique mobile, et la rétention
de sûreté4.
En 2005, il devient membre d’une Commission pluridisciplinaire
des mesures de sureté. Il défend ainsi la cause des victimes et de
leurs familles lors des demandes de libérations conditionnelles.
En 2006 et 2012, il écrit deux ouvrages afin de faire connaître
les conclusions de ses études et continuer son travail d’aide et
de prévention.
En 2013, révélé
par Atlantico,
Jean-Pierre Escarfail figure sur le « mur
des cons » du Syndicat de la Magistrature. Sa présence sur ce
mur ainsi que celle de Philippe Schmitt (dont la fille a également
été assassinée en 2007 par un criminel récidiviste) suscite une
polémique."