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Commentaire de Christian Labrune

sur Non ce n'est pas le 1er avril : un réfugié acquitté d'un viol car il n'avait pas « les codes culturels » ; un « gilet jaune » 4 mois ferme


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Christian Labrune Christian Labrune 27 novembre 2018 09:39

C’est une honte de cette justice dite française, composée de gauchistes méprisants les victimes et glorifiants les agresseurs, surtout s’ils sont « L’Autre », le divers, l’enrichisseur, celui qu’on glorifie à longueur de colonnes, d’ondes hertziennes et de gigabits sur tous les réseaux cuivrés ou en fibre !

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@hunter
Sur le « mur des cons » du syndicat de la magistrature, rappelons-le, figuraient les noms de deux pères dont les filles avaient été assassinées par des pauvres bougres plus à plaindre qu’à blâmer.

Sans doute, le syndicat de la magistrature n’est-il pas toute la justice en France, mais on peut quand même s’étonner de cette déclaration du Conseil supérieur de la Magistrature :
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/mur-des-cons-le-conseil-superieur-de-la-magistrature-refuse-de-rendre-un-avis_1250518.html

Extrait d’un article de Wikipedia qu’on trouvera à cette page :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Pierre_Escarfail

"À la suite du procès, Jean-Pierre Escarfail fonde l’Association pour la protection contre les agressions et crimes sexuels (APACS) et voyage dans de nombreux pays afin d’étudier les différentes législations mises en place à l’étranger pour lutter contre la récidive des criminels sexuels, et pour une meilleure prise en charge des victimes.3[réf. nécessaire]

Il participe régulièrement à des commissions, auditions ou études au sein d’institutions telles que l’Assemblée nationale et le Sénat afin d’y apporter son expertise. Son travail a notamment permis la mise en place en France de mesures comme l’évaluation de la dangerosité des délinquants sexuels, le bracelet électronique mobile, et la rétention de sûreté4.

En 2005, il devient membre d’une Commission pluridisciplinaire des mesures de sureté. Il défend ainsi la cause des victimes et de leurs familles lors des demandes de libérations conditionnelles.

En 2006 et 2012, il écrit deux ouvrages afin de faire connaître les conclusions de ses études et continuer son travail d’aide et de prévention.

En 2013, révélé par Atlantico, Jean-Pierre Escarfail figure sur le « mur des cons » du Syndicat de la Magistrature. Sa présence sur ce mur ainsi que celle de Philippe Schmitt (dont la fille a également été assassinée en 2007 par un criminel récidiviste) suscite une polémique."


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