françBonsoir Bernard,
Je me suis arrêté en réfléchissant à cette phrase "Une histoire globale n’en fait pas une histoire mondiale et inversement,
on peut raconter l’histoire du monde sans qu’elle ne soit globale«
Tout y est dit sur l’énormité de l’écriture. Je viens de l’effectué dans deux longs articles écrits à 30 ans d’intervalle.
Il y a le problème du temps et de l’espace qui varient tous deux en même temps.
Une autre phrase est aussi un peu clivante : »il n’y a aucune raison de refuser cette manière de voir aux Français,
d’autant plus que la langue française possède des ressources
sous-estimées dans le domaine de la pensée et la métaphysique"
Donc, cela ne sera destiné qu’aux Français ou au moins aux francophones.
La pensée anglophone anglicane ; la pensée asiatique sont donc exclues.
Je suppose que vous êtes d’accord pour parler du but ultime d’un tel désir c’est de comprendre où se cache le bonheur ou le malheur des gens par la philosophie qui comme vous dites n’a rien à voir avec celle des Allemands..
Du temps de Sarkozy, Joseph Stiglitz avait été chargé par lui pour établir un rapport sur ce que les gens dans le monde comprenait au seul mot « bonheur » dont j’avais fait une analyse dans un billet alors que le rapport en contenait des centaines de pages..
Je teminais l’article en écrivant :
« Lorsqu’une société entière se contente de regarder la situation déraper, il y a un sérieux problème ».
C’est
vrai, c’est une véritable gageure de planer au dessus d’un nid de
coucous et de satisfaire chaque coucou dans un nid qui devient toujours
plus petit.
Alors, un bon rapport sur le BIB ?
En espérant qu’il ne devienne pas un bide par les temps qui courent.
J’espère que vous laisserez quelques traces de votre projet sur cette antenne.
Je suis très curieux de nature.... 