Les plus grandes figures féminines, loin d’avoir, dans l’histoire, l’éclat des grands hommes qui se glorifiaient mutuellement, étaient enveloppées d’obscurité, le plus souvent anonymes ; leur modestie naturelle les avait diminuées, on l’exagérait encore, tant on les faisait petites. Elles paraissent même abjectes, suivant la nouvelle morale qui avilissait la grandeur intellectuelle et ne glorifiait que l’orgueil.
C’est l’époque où la Femme avilie se débattait contre ceux qui voulaient l’asservir. Triste histoire, terrible épopée d’une race de captives et d’esclaves, qui nous montre la Gynécaïa, cette belle harmonie féminine, comme dit Baschofen, finissant avec Cléopâtre, qui semble marquer la fin du règne de la Femme.
29/11 10:54 - kalachnikov
@ Étirév Vos lumières sur ces points : philopator (= qui aime son père) ; se marie avec les (...)
29/11 10:30 - Étirév
Les plus grandes figures féminines, loin d’avoir, dans l’histoire, l’éclat (...)
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