@Jean d’Hôtaux Je n’ai pas recherché à faire une démonstration. Je suis simplement étonné qu’une femme qui se plaint d’avoir été violée écrive ensuite à son présumé agresseur qu’elle a gardé un « bon souvenir » de lui « même si c’était court », qu’il est « le seul homme qui lui fait cet effet », qu’elle espère qu’il ne l’a pas oubliée ni oublié « ces bons moments »
qu’ils ont partagés une seule fois certes, mais qui ont été pour elle « si fort et intense », « inoubliable », et qui lui dit « j’ai envie d’être dans tes bras et que tu me serres fort mon amour ». En fait, cela n’est pas la première fois que je remarque dans les affaires de mœurs que les choses ne sont pas forcément aussi simples qu’on pourrait le croire au premier abord.
Je remarque par exemple que dans le cas des jeunes filles suisses, Europe 1 écrit que pour deux d’entre elles, il y a eu des relations sexuelles, et que ces relations sexuelles étaient « consenties mais « sous son emprise » ». Qu’est-ce que cela veut dire des relations consenties « sous son emprises » ? ? Moi je me pose des questions, c’est tout.
http://www.europe1.fr/societe/tariq-ramadan-un-rapport-suisse-confirme-les-temoignages-deleves-abusees-dans-les-annees-1990-3810095.
Notre président de la République Emmanuel Macron lui est tombé amoureux de sa professeur de théâtre au lycée alors qu’il avait 16 ans. Etait-il sous l’emprise de Brigitte Trogneux ? ? ? Faut-il jeter l’anathème sur Brigitte Trogneux ? ? ? ? ? Tout cela ne pose-t-il pas question ?