@mmbbb
Je
dispose d’Internet, comme vous, et que je m’en sers. C’est pourquoi,
je connais les discours des Bourguignons. J’ai déjà répondu
ci-dessus : oui, l’agriculture intensive à des effets
indésirables, comme toute activité, mais elle a des rendements
élevés, qui se maintiennent.
Or
le sujet de cet article, c’est la quantité ; il ne s’agit pas
d’un PB de papilles, de qualités gustatives, mais d’un PB de
survie : il faut produire plus avec moins. (Les fins gourmets
peuvent se rassurer : il y a encore quelques épiceries fines
avec chapons pour cette clientèle délicate. Mais la grande et bonne
nouvelle est qu’aujourd’hui, pour encore quelque temps, il y a
en outre, dans les épiceries pour tous, dans plus en plus de pays,
des produits sains, de bonne qualité, à la portée du plus grand
nombre, en abondance.)
Voir
par exemple Produire plus
avec moins FAO 2016 a-i4009f
« Et
l’on peut accroître encore la production
– car, dans la plupart des régions en développement, les
rendements des principales cultures vivrières, notamment les
céréales, sont égaux à la moitié de ceux qu’il est
techniquement possible d’obtenir avec une optimisation
des intrants
et de la gestion.
Quelle
est votre solution, autre que la déforestation ?
Vous
parlez de surpopulation, comme Xana ci-dessus. J’ai déjà répondu,
avec un lien. Avez-vous d’autres solutions ? (c’est-à-dire :
« par qui on commence ».)
Pierre Yves