@jesuisdesordonne. Raisonnée, la peur de la mort pousse à réaliser un maximum avant de mourir. Voici deux ans et demi, j’ai eu une alerte cardiaque qui m’a effrayé, fausse alerte finalement. J’étais effrayé de laisser une oeuvre très inachevée et inutilisable. Problème réglé depuis :
http://www.lulu.com/shop/jacques-lavau/microphysique-quantique-transactionnelle-principes-et-applications/paperback/product-23362834.html
Et sept mois et demi de traduction plus tard :
http://www.lulu.com/shop/jacques-lavau/transactional-quantum-microphysics-principles-and-applications/paperback/product-23656620.html
Réglé ? Pas du tout !
une question sur Usenet, une autre question sur le site researchgate.net, et pouf ! Voilà que je dois remanier plusieurs points essentiels du manuel enfin terminé. Il faudra peut-être même que je remanie le titre, donc consommer deux autres numéros ISBN.
Hé oui, deux frontières de la théorie transactionnelle déclenchent une alerte : la traversée de l’horizon de Schwarzschild d’un trou noir, et la frontière du réputé « quantique » avec le rayonnement synchrotron tel que pratiqué à l’ESRF de Grenoble, qui justement n’est pas « quantique » du tout à son émetteur.
Au final, malgré toute l’esbrouffe des grands prêtres, la microphysique quantique n’est qu’un sous-domaine de la microphysique tout court : le sous-domaine restreint aux transactions où un émetteur, ou un absorbeur, ou les deux, opère une transition d’un état stationnaire, donc à fréquence intrinsèque broglienne définie, vers un autre état stationnaire, lui aussi à fréquence broglienne définie.
Encore un programme de six mois de travail devant moi...
C’est la rançon d’être un trouveur et innovateur : on est tout seul pour trouver ses erreurs, tout seul pour identifier les difficultés à résoudre, tout seul pour trouver la démarche pédagogique efficace, tout seul pour rédiger des définitions efficaces et dynamiques.
J’ai un avantage déloyal : j’ai pratiqué plusieurs métiers, et plusieurs cultures scientifiques et techniques.
Il faut aussi envisager de sacrifier l’achèvement de certains travaux, et revendre mon petit croiseur avant d’en avoir terminé son insubmersibilisation. Parce que de toutes façons, à la fin c’est toujours la Camarde qui gagne.