@Christian Labrune
Bonjour et merci pour cette intéressante contribution qui réjouira les populations des Territoires, heureuses d’apprendre que leur dirigeant dispose d’un bel avion, moderne, rapide, luxueusement aménagé.
(1) https://www.timesofisrael.com/amid-funding-cut-fears-pa-purchases-50-million-private-jet-for-abbas-report/
(2) https://www.middleeastmonitor.com/20180125-despite-us-aid-cuts-palestine-president-gets-50mn-jet/
(3) https://tradingeconomics.com/country-list/gdp
Pendant ce temps-là le « politiquement correct » continue son petit train-train quotidien et les malheureux palestiniens continuent de faire les frais de factions qui ont littéralement « professionnalisé » le métier de « réfugiés », pérennisant un sous-développement endémique.
D. Trump a montré qu’il n’avait plus de temps à perdre et a pris une décision logique sur le fond : cesser de financer l’ingérable.
Mais la France, quant à elle, est là, bonne fille, qui finance à fonds perdus, alors qu’il lui suffirait pour imprimer une réelle inflexion de poser de réelles conditions à son aide, somme toute généreuse même si elle est modeste.
https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2019/01/04/situation-economique-et-financiere-palestinienne-janvier-2019
"Malgré des progrès continus de consolidation budgétaire depuis 2007 et
une baisse régulière de son déficit, la situation financière de l’AP est
plus que jamais critique du fait de la baisse continue et significative
de l’aide internationale depuis 2014. La signature en octobre 2017 d’un
accord d’étape pour la réconciliation entre le Fatah et le Hamas avait
fait naitre de grands espoirs pour le développement à long terme d’une
économie palestinienne viable, mais la perspective de la mise en œuvre
de l’accord semble aujourd’hui lointaine, compte tenu du durcissement du
bras de fer qui les oppose.
"
De l’autre côté de la frontière, vous trouverez un État et un pays modernes qui a décidé avec talent et efficacité de participer au XXIè siècle.
Bien à vous,
Renaud Bouchard