@Jonas
Vous avez toujours l’insulte au bout de la plume.
Revenons à notre sujet, l’ancien ministre français de l’Éducation soutient l’emploi d’armes par la police contre les
manifestants :
"On ne donne pas les moyens aux policiers de mettre fin aux
violences. Quand on voit des types qui tabassent à coups de pieds un
malheureux policier... On ne donne pas les moyens aux policiers de
mettre fin aux violences. Quand on voit des types qui tabassent à
coups de pieds un malheureux policier... qu’ils se servent
de leurs armes une bonne fois, écoutez, ça suffit !",
a lancé le philosophe de pissotière sur Radio Classique, lundi 7 janvier 2019, dans sa diatribe haineuse sur les gilets jaunes.
Et pourtant, la police français a été autorisée à recourir
aux différents moyens de répression à commencer par Flash-ball ou
encore taser. Des images insoutenables ont d’ailleurs été diffusées
mettant en scène des agressions policières sur des personnes
handicapées.
Ainsi, Jacques Toubon préconise l’interdiction de l’usage
des flash-ball, dans le cadre du maintien de l’ordre, en raison de leur
« dangerosité » et des « risques disproportionnés » qu’il font courir.https://www.europe1.fr/societe/le-defenseur-des-droits-preconise-linterdiction-des-flash-ball-pour-le-maintien-de-lordre-3542798
En décembre dernier, le principal journal de gauche français,
Libération, a révélé que malgré un coup de semonce du
Défenseur des droits Jacques Toubon, en tant qu’autorité
administrative indépendante, le ministère de l’Intérieur avait
vocation de commander 1 280 armes de type Flash-ball qui peuvent
causer de graves blessures.
Aujourd’hui s’opère en France une prise de conscience sur l’existence de
deux polices : une police physique qui est payée pour réprimer, une
police idéologique des consciences dans les médias dominant. Le système
sécuritaire et médiatique fonctionne comme un appareil géant de contrôle
social, une matraque physique et idéologique qui s’abat
quotidiennement.