Bonjour,
L’auteur de l’article, auteur également d’un roman (voir son profil personnel) dont le titre « cause perdues » semble prémonitoire, nous gratifie d’une conte de fées et de prince charmant.
Le prince Emmanuel, au regard clair, brillant, franc et chaleureux, loyal -je cite l’auteur— est de ceux qui avec détermination volent au secours des « plus vulnérables », comprendre le pauvre, la veuve et l’orphelin.
Son idéal : gagner de l’argent, avoir une belle maison et vivre dans le confort. Soyons rassuré, pour notre prince l’objectif est atteint. Pour les autres il faudra qu’ils retrouvent « le sens de l’effort ».
Car il se pourrait qu’ils ne soient que des « ingrats, capricieux, nantis individualistes » à l’inverse des roumains et autres portugais, eux si reconnaissants à leurs princes respectifs pour l’austérité et la pauvreté au quotidien. Exemplaires ces gens là, je vous le dis !
Ah que notre France serait belle si il n’y avait pas ces affreux méchants « groupuscules extrêmes » — les démons du conte de fées— qui veulent accomplir leurs « funestes desseins ».
Quels desseins ? Dans un dernier élan, digne des meilleurs éditorialistes de cour, l’auteur avec l’originalité qui le caractérise, n’oublie de nous rappeler « les heures sombres de l’ère nazie ».
Brrrr.. J’en tremble de frayeur. Sous le gilet jaune se cacherai donc un gilet brun ?
Comme cette analyse est fine. Merci Monsieur pour cet éclairage.
Et longue vie à Emmanuel notre prince adoré.