@César JULES Bonsoir, Ce que vous groupez sous le terme « taxes » comprend des taxes au sens strict et aussi des cotisations, et les cotisations diffèrent des taxes parce qu’elles ouvrent des droits : retraite, assurance maladie etc. Si vous abandonnez la perception des cotisations sur les salaires au profit de l’impôt, il vous faudra doubler (et même un peu plus) les ressources du budget de l’Etat. Je ne crois pas que la TVA puisse suffire, ou alors les prix des biens et services vont s’envoler. Pas sûr que les salariés l’acceptent, ou alors il faut impérativement rendre aux salariés l’intégralité de ce qu’on appelle charges salariales (part du salarié et part patronale).
@nofutur Bonsoir, Les taux sont les mêmes pour tous, mais sont modulables à l’infini. Et les produits de base peuvent être exemptés de TVA ou taxés à un taux très bas. Ce sont des décisions politiques. Si vous gagnez 10.000€ mensuels vous consommerez plus qu’un smicard, et sans doute plus de services ou de produits de luxe ou de prix qui seront taxés à des taux élevés. C’est aussi une forme de redistribution.
Les habitudes culinaires, côté restaurateurs et côté clients, évoluent de concert avec les changements de mode de vie.
Les clients souhaitent souvent un service rapide, des plats digestes et légers et une addition légère.
Le restaurateur, pour répondre à ces demandes, privilégiera les plats tout prêts de Metro ou équivalent. Quelques minutes au micro-onde et c’est prêt.
Pas besoin de salarier un vrai cuisinier ni d’équipe pléthorique en cuisine. Et les clients n’y voient bien souvent que du feu.
Un indice pour savoir si votre petit bistro resto/cantine du midi fait de la vraie cuisine ou non : si vous voyez le cuisto arriver à 11h et si on vous sert sur une assiette brûlante, la blanquette ou la choucroute de midi c’est du surgelé Métro.
D’autres restaurateurs soucieux de gains rapides et faciles se tourneront vers pizzas, burgers ou crêpes. Matières premières bon marchés, peu nombreuses, se conservant facilement et faciles à cuisiner. Rapport coût / bénéfice imbattable.
Quant aux restos exotiques, ils répondent souvent à l’envie de retrouver la cuisine qu’on a connu en vacances.
Ils offrent des plats souvent à des prix très bas. Bien souvent grâce à des arrangements avec nos lois sociales ou nos règles d’hygiène.
Les employés en cuisine sont les membres de la famille ou bien des compatriotes pas forcément avec tous les papiers qu’il faudrait.
Bref des gens pas exigeants sur les horaires et les conditions de travail. Ca aide à tenir une petite entreprise à flot.
Il y a une forme de complaisance envers soi-même à présenter son athéisme comme une affirmation courageuse et non-conformiste.
Dans une société française où les catholiques ont perdu depuis bien longtemps la bataille culturelle, au moins depuis les années 60 et voire avant, c’est plutôt s’affirmer croyant qui est non-conformiste et même carrément disqualifiant dans certains milieux socio-professionnels.
Après les persécutions anticatholiques de la fin du 19ème, l’avènement de la société de consommation nous a coupé de nos traditions religieuses.
L’individualisme, le matérialisme et la perte du sens d’un bien commun a élevé le « moi », le « je le vaux bien et j’ai le droit » au rang de juge absolu de nos actions.
Face à une forme de laïcité officielle parfois hargneuse et militante — qui s’en prend d’ailleurs à tous les croyants, chrétiens comme musulmans-, le peu de courage et de conviction des derniers catholiques et la timidité de l’Eglise romaine ne font pas le poids.
Cela a peut-être un côté positif en diminuant le poids du cléricalisme et du bureaucratisme de l’Eglise de Rome au profit d’une spiritualité plus intime et plus personnelle.
Hier j’ai passé une très agréable soirée avec des amis et, comme d’habitude, on a commencé par un apéro de campeur, quand on a fini le pastis on s’est rabattu sur le whisky. Cochonnailles et vin à foison, du blanc du rouge et du rosé ensuite différents marc prune et poire comme chacun avait amené la sienne il a fallu toutes les goûter pour finir la soirée
Au moment de prendre congé, malgré le fait que je me sentais parfaitement capable de conduire après tout ce que j’avais picolé, j’ai eu la clairvoyance de penser que j’avais largement dépassé la limite permise qui est si basse et que le Ministre avait chargé la police de ne s’occuper de l’application des lois que par les gaulois réfractaires uniquement.
Alors, pour la première fois dans de telles circonstances, j’ai pris un bus pour rentrer chez moi. Heureusement d’ailleurs, car sur la route pour rentrer chez moi, il y avait les policiers qui ne vont plus interpeller les délinquants colorés vont passer encore plus de temps derrière leurs jumelles ou pour faire souffler les conducteurs dans le ballon. Mais heureusement pour moi, en voyant le bus, les policiers lui ont fait signe de passer et je suis arrivé chez moi sans incident. C’était vraiment une sacrée surprise, car je n’avais jamais conduit de bus auparavant. D’ailleurs, je ne me souviens plus où je l’ai pris… Et maintenant, il est garé devant ma porte et je ne sais plus quoi en faire