A l’auteur
« ...saluer la perspicacité des astucieux organisateurs. »
/perspicacité, ben on savait déjà que ce serait comme ça ;
on n’est donc pas déçu. On peut utilement et certainement remplacer le mot par
perversité.
/ astucieux, pas tant que ça : la technique de com est
éculée, mais l’auteur de la lettre semble croire que ça va encore marcher.
Le mot là, donne trop de crédit à la démarche pourrie que nous subissons. On
voit bien que vous êtes naturellement gentil. Mais ça enlève à la clairvoyance. On le remplacera donc par : monsieur le président, arrêtez
de continuer à vous payer notre poire. On a été sympa jusque là mais on est
nullement obligé à continuer comme ça longtemps. ( A mon corps défendant, mon
esprit est possédé par une image de tête sur un pic. Agrémenté de carmagnole. Et ça c’est pas bien du
tout pour tout le monde ! Président, faut arrêter maintenant ! Il est encore temps.)
Pour la suite de votre devlpmt, en effet, on ne peut qu’agir sur le
fond : outre les gaspillages éhontés à éradiquer, les soussous, il faut les chercher à partir de là où il devraient
normalement sortir pour rentrer.
Pour ce faire : revoir l’ensemble à donf. Et je verrai bien en premier lieu la prise en compte d’un certain référendum sur un traité sur lequel « on » s’est allègrement assis. — Un comble ! La trahison du populo par sa « représentation » démocratique.-
Commencer par ça avant toute discussion, comme préalable incontournable. Comme gage de bonne foi. Le reste en découlant. Pas l’inverse !
- L’artiche ne viendra pas sans invitation forte. Il faudra même insister. En toute légalité,
sans ostentation ni injustice pour le partage équitable des richesses produites. (Entre autres, sans paiement d’intérêts de la dette illégitime qui correspond à la plus grande escroquerie de l’histoire.)
Il y a un préalable : nettoyer les écuries d’Augias.
Comme vous l’avez effectivement suggéré mais en veillant bien qu’elles en ressortent
« nikel-chrome ».
Et à partir de là, le « ruissellement » attendu nous sera alors dévolu…., en toute sérénité, de surcroît. Mais surtout, en toute justice pour le bien des habitants capables de se gouverner.