« De tels propos dans le monde de l’entreprise, dont il prétend importer en politique les « bonnes pratiques », lui auraient valu un renvoi pour faute lourde en harcèlement moral.
Si nous avions un Parlement réellement démocratique, cela lui vaudrait normalement une procédure de destitution au titre de l’Article 68 de la Constitution, car nous sommes là très clairement dans un cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat. »
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La destitution du Président de la République, prévue par notre Constitution pour le genre d’abus et de dérives que nous fait actuellement subir un mandaté qui se prend pour Juputer, est assurément le seul moyen, indispensable et suffisant, susceptible de faire cesser au plus tôt le malaise délétère, qui handicape notre pays depuis mois !
Dès lors chaque jour qui passe sans que cette procédure ne soit initiée ne fait qu’empirer le risque d’une aggravation du discrédit mérité par l’échec d’un système de pouvoir inapte à se protéger lui-même par le dernier fusible qu’il avait envisagé : le Président de la République !
Les gilets jaunes ont toute légitimité et honneur citoyen à se répartir entre conciliants qui se contentent encore de ne demander que la démission du jupiter, et insurrectionnels qui, constatant de façon pragmatique un échec structurel encore plus préoccupant que l’interminable série d’erreurs de casting en cours, visent déjà à un renouvellement de notre Constitution nationale.